1. On ne sait pas où l'on va, des fois, en courant


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fhh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, Oral pénétratio, regrets, cocucont, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... une. Enfin, c’est une expression. Je n’ai jamais levé la main sur qui que ce soit. En tout cas, je pense que je me serais levé, furieux, que je l’aurais attrapée par le bras et évacuée vers la chambre avec une petite crise de nerfs en prime. Mick, lui, n’a pas semblé plus perturbé que ça par la vision que nous proposait son épouse. Il s’est contenté de se lever, et tout en déboutonnant son short, de lui répondre avec un sourire « Ah, bah moi ! »
    
    En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était allongé sur le canapé, sur le ventre, et attendait que les mains de Marie viennent faire leur travail.
    
    Elle s’est mise à califourchon sur lui, me proposant une vue imprenable sur sa petite chatte épilée quand elle levait la jambe. Et tout de go elle a versé du gel sur le dos glabre de Mick pour commencer à lui pétrir les épaules. Je n’avais pas très envie, pour tout dire, de rester là à bander dans le vide et comme un con. Je me suis d’ailleurs demandé si tout ça n’était pas un jeu pervers, s’ils n’allaient pas baiser devant moi et se foutant de ma gueule. Alors je me suis éclipsé sans rien dire et j’ai rejoint ma chambre. Je ne voulais pas leur donner le plaisir de mon humiliation.
    
    Seulement voilà. Au bout de quelques minutes, j’ai entendu des gémissements, puis des rires, puis à nouveau des gémissements. J’imaginais Michel dans sa chambre occupé à s’astiquer. Moi, d’ailleurs, j’aurais volontiers fait pareil, mais la colère sourde qui montait en moi me conduisait ...
    ... plutôt à essayer de masquer ces bruits. J’ai donc allumé la télé, que j’ai dû mettre de plus en plus fort. Et j’ai tenté de faire le vide dans ma tête.
    
    Ça a duré. J’ai fini par baisser la télé pour ne pas emmerder les voisins. Les bruits étaient de toute façon moins fréquents, plus rythmés aussi. Et ils se sont estompés jusqu’à une sorte de « Ouf ! » un peu bruyant qui signifiait sans doute que tout était terminé. Et tant mieux.
    
    Presque aussitôt après, la porte de ma chambre s’est ouverte brutalement. La belle Marie s’est avancée dans l’embrasure, le tube de gel à la main. Son tee-shirt était tout gras, ou en tout cas taché de diverses substances. L’air content de son effet, elle m’a jeté un « À ton tour ! » avant de s’avancer d’un pas décidé vers moi. J’étais encore habillé, allongé sur le dos, un oreiller sous le cou. Je ne sais plus à quoi j’ai pensé à cet instant, mais d’une façon presque mécanique je me suis levé pour quitter mes vêtements. À l’exception quand même de mon boxer. On a sa fierté. Je voulais peut-être éviter qu’elle me tue avec « T’as que ça ? » ou « C’est tout ? »
    
    Bref, je me suis allongé après avoir viré l’oreiller, et j’ai fermé les yeux, prêt à me laisser masser.
    
    Marie a posé ses mains déjà chaudes sur mes chevilles qu’elle a massées longuement avant de remonter sur mes mollets endoloris. Aucune espèce de tendresse dans ses gestes. Mais ça me faisait un bien fou. Mes pensées divaguaient entre la course que je venais de vivre, des images salaces ...
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