1. Sexe dans l'au-delà (2)


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession, Humour fantastiq, Auteur: Gérald de Saint Pierre, Source: Revebebe

    ... vais pas m’amuser à passer au peigne fin toutes les années de notre vie conjugale, curiosité malsaine qui ne pourrait m’amener que des écœurements et surtout des regrets. Regrets d’avoir été si aveugle, ou plutôt si faible…
    
    Je faisais partie de la catégorie des cocus naïfs. Il y a ces jaloux maladifs qui élaborent des scénarios de culpabilité à l’encontre de leur douce, là où il n’y a strictement rien de blâmable et puis il y a les benêts comme moi qui ont sous les yeux tous les éléments de la fourberie de leur compagne mais qui cherchent, pour ne pas à avoir à affronter la cruauté de leur sort, à nier la réalité en échafaudant des concours de circonstance à leur avantage.
    
    J’avais dit que de tout temps, les femmes sont toujours allées vers l’argent et jusqu’au dernier jour, elles resteront à vendre, quoi qu’elles en disent. Tout dépend de l’enchère.
    
    C’est sans doute exagéré, toutes les femmes ne sont pas des filles de joie loin s’en faut, mais vous savez, le malheur rend excessif. Quoique, pour répondre à certaines oreilles sensibles, ne dit-on pas aussi que les femmes rougissent d’entendre nommer ce qu’elles ne craignent aucunement à faire…
    
    Bon, laissons cela, je vais vous rapporter la suite de cette histoire.
    
    Donc, j’en étais là de mes réflexions, assis dans la position du penseur de Rodin sur le toit de la tour qui abrite les bureaux de mon entreprise. Du vingt-cinquième étage, j’observais la ville sur laquelle l’ombre du jour tombant s’étendait en même ...
    ... temps que des petits points s’allumaient telles des guirlandes de Noël. Je me disais que derrière chaque petite lumière il y avait une pièce et dans chaque pièce des gens, des enfants qui jouaient, des mères de famille qui préparaient le repas du soir pendant que leur mari se reposaient de leur dure journée de labeur assis confortablement devant la télévision, un verre à la main. Quelle vue idyllique de la société…
    
    Puisque j’ai choisi de tout vous dire, je vous avoue que j’ai toujours été amoureux en secret de Josy, la jeune secrétaire qui travaille dans le bureau dont je suis le chef. Ma supériorité hiérarchique m’a toujours interdit des familiarités avec elle, question d’éthique. Je dois vous dire que je suis assez à cheval sur les principes, complètement déluré dans mes pensées mais très bcbg aux yeux des autres, voire coincé. Nous en sommes donc toujours restés au vouvoiement et conversations de convenances et ce, malgré mon intense envie d’aller plus loin dans nos échanges. Il est vrai aussi que je ne voulais pas prendre le risque de mettre en péril mon équilibre familial par ce qui aurait pu devenir une aventure extra-conjugale, qui plus est, au sein de l’entreprise. Tout ça pour Françoise ! Cette salope ! Cette grosse pute ! Si j’avais su…
    
    Bon… Disons les choses nettement et sans ambages, Josy me faisait bander ! Il faut dire qu’elle a une sacrée particularité, la friponne. Bien que de taille mince, le ciel l’a doté d’une poitrine… disons généreuse… Non… disons ...
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