1. De si jolies filles


    Datte: 04/03/2019, Catégories: ff, fff, ffh, fbi, jeunes, couplus, poilu(e)s, fépilée, campagne, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, échange, portrait, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... gobais son gland.
    
    — Quel bel abricot bien poilu ! Au moins je n’ai pas l’impression d’avoir la moule d’une fillette nubile sous les yeux. Au moins ça, c’est une putain de cramouille à trifouiller.
    
    Entre mes jambes, j’ai ressenti une brûlure, un frémissement m’a parcourue, mes chairs se dilataient. Cela faisait longtemps qu’avec Karine je ne m’étais pas ouverte à ce point. J’étais prête à l’accueillir, j’ai recouvert d’un préservatif son mât parfaitement dressé et aux dimensions peu communes. Puis je me suis positionnée pour qu’il me prenne en levrette. Il a présenté son gland entre mes lèvres. Il s’est arrêté un instant en disant :
    
    — Tu vas la sentir dans ton garage à bite, je vais te sauter, ma belle pouliche.
    — Vas-y, déchire-moi !
    
    Parfois on devrait réfléchir avant de parler, mais dans le feu de l’action, lorsqu’on est bien excitée, on ne mesure pas toujours la portée de ses propos, car il est entré d’un coup, avec une rapidité douloureuse. Pourtant je n’ai pas crié, j’ai encaissé, voulant qu’il me perfore sans ménagement. Justement, sa queue est venue labourer mon sexe en jachère, il s’est agité dans ma vulve accueillante et trempée de mouille.
    
    La douleur était encore là, présente dans le creux de mon ventre, cependant ses mouvements me procuraient une volupté énorme : le plaisir dans la souffrance. J’avais déjà connu cette sensation avec un de mes amants. Je savais que la jouissance n’en serait que plus forte.
    
    Tout en faisant des va-et-vient dans ...
    ... mon vagin il me pétrissait les nichons en commentant ces pelotages :
    
    — Ma queue fait connaissance avec Aramis, ma main gauche caresse Athos et ma droite malaxe Porthos.
    
    Je ne connaissais pas ces expressions imagées, mais dans le contexte, elles ne nécessitaient aucune traduction.
    
    Le plaisir de cette étreinte sauvage fut soudain. Une sensation divine me submergea et me transperça le corps, du sexe au cerveau, en passant par mon épine dorsale. Par les rugissements de Claude, je compris que lui aussi jouissait, son sexe planté au fond de mon con, nos muqueuses encastrées les unes dans les autres. Les muscles de mon vagin enserraient son bâton d’amour dilaté et gorgé de sang.
    
    Nous refîmes plusieurs fois l’amour, Claude étant un étalon très endurant et reprenant rapidement des forces. Je n’avais pas beaucoup d’efforts à faire pour que son membre se redresse et il était toujours partant pour de nouvelles positions et surtout des étreintes plus douces et plus suaves que notre première chevauchée. Jusqu’au moment où il me proposa :
    
    — J’ai envie de t’enculer.
    
    Je ne répondis pas tout de suite, j’étais d’une part tentée par cette étreinte et d’autre part intimidée pas la dimension de son engin. J’avais accepté la sodomie de plusieurs de mes amants et appréciais plus ou moins cette pratique selon les partenaires. Claude se montrant un excellent compagnon de jeux sexuels, l’attrait était trop fort pour refuser. Alors, sans rien dire je me suis mise sur le ventre et j’ai ...
«12...789...15»