1. De si jolies filles


    Datte: 04/03/2019, Catégories: ff, fff, ffh, fbi, jeunes, couplus, poilu(e)s, fépilée, campagne, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, échange, portrait, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... pour moi seule était une possession égoïste. L’idée d’appartenance, qui m’avait toujours déplu avant de la connaître, m’était insupportable. Je voulais prouver à la femme de ma vie que je n’étais pas jalouse en lui accordant le loisir de découvrir d’autres craquettes que la mienne. En même temps je montrais ma générosité à Amandine en lui « prêtant » mon amante. Par ailleurs, Claude était un bel homme et me faire baiser par lui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Et comme son épouse semblait n’y avoir rien à redire, tout était pour le mieux.
    
    Nous avons dîné tous les quatre sur la terrasse du bungalow de nos amis. Lorsque la nuit fut tombée sur le camping, sans que nous prononcions une seule parole, Karine entra dans le logement avec Amanda. Elles s’isolèrent dans la chambre. Franck restait immobile, je lui dis donc :
    
    — On va dans la deuxième chambre ?
    — Oui, oui, je te suis.
    
    Une fois la porte refermée, je me suis jetée sur lui et nous nous déshabillâmes mutuellement. J’ai craint un moment qu’il reste passif, pensant trop à sa femme qui faisait l’amour avec une autre femme. Cela risquait de le bloquer. Tant que l’idée n’était qu’un fantasme, il consentait au principe, trouvant même excitant que sa femme goûte aux plaisirs saphiques. Mais à présent qu’il était confronté à la réalisation de l’acte, l’acceptation était plus délicate.
    
    Je me trompais, il dut oublier Amandine en me voyant contre lui, nue, offerte et chaude comme la braise. Il ne pensait ...
    ... plus qu’à moi :
    
    — Je n’imaginais pas qu’un jour je baiserais avec une gouine.
    — Je suis bisexuelle, alors que Karine est purement gouine comme tu dis. J’aime autant les bites que les cons. J’aime autant me faire tripoter par un mec, que par une nana et je n’ai rien contre l’idée que la queue d’un homme vienne fourailler mes entrailles. Tu n’es pas le premier, loin de là, et certainement pas le dernier.
    
    Nos lèvres se sont pressées, nos langues se sont cherchées, trouvées, se sont entremêlées passionnément tandis qu’avec une main je tâtais sa bite déjà bien gonflée. Elle allait bientôt se cabrer. J’avais envie de cette queue, belle, grosse et longue, je voulais la posséder et qu’elle entre en moi pour me faire jouir. Ce désir était inexpugnable, je crois que si Karine était apparue devant moi à ce moment-là, je n’aurais pas lâché ce bâton d’amour. J’avais un besoin fou de me donner à cet homme, un besoin bestial ; je ne voulais pas qu’il devienne mon amant, seulement qu’il me baise profondément.
    
    — J’aime autant lécher la motte luisante de ma copine que de sucer une belle queue comme la tienne.
    — Alors, suce, suce-moi la queue.
    
    Il se coucha sur le dos et je l’ai pompé. Avec ses mains, il tentait de venir chatouiller ma vulve. Alors je me suis positionnée au-dessus de lui, pour que nous formions un beau soixante-neuf. Il ouvrit mes muqueuses de ses deux mains et commença à lécher ma moule avec sa langue râpeuse, tandis que je tenais fermement son gros dard et que je ...
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