1. Professeur, mais pas maîtresse - Partie 2


    Datte: 03/03/2019, Catégories: ff, fff, fplusag, profélève, école, toilettes, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fouetfesse, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... tête, ses yeux s’arrêtant sur les parties les plus intimes de mon corps. Mes deux « tortionnaires » sont collées au mur et cachées par la large porte. Ses yeux vont et viennent plusieurs fois et elle lâche enfin :
    
    — Suivez-moi dans mon bureau !
    — Je… je sais pas ce qui m’a pris… Excusez-moi, je…
    — Suivez-moi dans mon bureau, je vous dis !
    
    Je me rhabille tant bien que mal, et plutôt mal que bien, ramasse mon fatras alors que la directrice est toujours plantée devant la porte qu’elle maintient ouverte. Je passe devant elle sans oser la regarder, la tête basse. Son bureau est un étage plus bas, au rez-de-chaussée. Le trajet se fait jusque-là dans un silence total. Une fois à l’intérieur, elle me dit :
    
    — Avancez et posez vos affaires sur le bureau.
    
    Je m’exécute en restant plantée entre les deux fauteuils placés là-devant, sans dire un mot. La directrice s’approche de moi, me tourne autour ; je peux sentir son parfum poivré tellement elle est proche de moi. Une fois de plus, elle passe dans mon dos ; mon boléro tombe de mes épaules, guidé par une poigne ferme. La directrice repasse devant moi. Je la regarde, les yeux agrandis par la surprise.
    
    — Oh !
    
    Je pousse un cri quand sa main attrape mon haut et, comme Marion, le tire d’un coup sec vers le bas. Son regard fixe mes seins toujours aussi gonflés par l’excitation, sa langue passe sur ses lèvres, ses yeux brillent d’un feu étrange. Je reste tétanisée par la surprise, la bouche ouverte, ne sachant que faire.
    
    — ...
    ... Penchez-vous sur le fauteuil !
    — Comment ? Que je…
    — Allez, penchez-vous sur le dossier !
    
    Sa main me pousse dans le dos jusqu’à ce que mon ventre repose sur le dossier du large fauteuil ; mes deux seins pendent dans le vide, mes tétons énormes dressés vers le plafond.
    
    — Anne-Marie m’avait parlé de votre vice et de vos besoins charnels immodérés, mais je pensais quand même que vous sauriez restreindre vos pulsions chez moi.
    — Je vous demande pardon, je sais pas ce qui m’a pris.
    — J’ai bien vu que le besoin d’exhiber vos chairs reprenait le dessus ; chassez le naturel et il revient au galop, comme on dit.
    — Pardon, je… j’ai honte…
    — Pff, vous n’avez aucune honte : je les connais, les garces comme vous ! Tout est bon pour prendre son plaisir, peu importe où ni comment. Aucun respect pour rien, et surtout pas pour mon établissement.
    
    Elle est passée dans mon dos ; je sens sa main passer sur mes fesses. Sa main palpe mon cul au travers de ma jupe qui le couvre à peine. D’un geste brusque, ma jupe n’est plus qu’un bout de tissu replié autour de ma taille.
    
    — Tout est bon pour exhiber votre cul de diablesse ! Et faire tourner les têtes, n’est pas ?
    — Je demande pardon, je ne le ferai plus.
    
    Une claque magistrale tombe sur mon cul ; le bruit sec résonne sur les murs de la pièce.
    
    — Mmmh…
    — Oh que si ! Je connais les femmes comme vous : elles ne savent pas se contrôler et ne respectent rien, même pas un établissement réputé comme le mien.
    — Je vais faire de mon ...