1. Professeur, mais pas maîtresse - Partie 2


    Datte: 03/03/2019, Catégories: ff, fff, fplusag, profélève, école, toilettes, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fouetfesse, Auteur: Bijanus, Source: Revebebe

    ... accepté.
    
    Les filles parties, je traîne dans la classe ; au point où j’en suis, je ne peux plus reculer maintenant. Tout mon corps ne demande qu’à devenir le jouet de cette diablesse, mon sexe en feu ne me permet pas d’être lucide, de me ressaisir et de revenir sur terre.
    
    Je sors, les bras toujours aussi chargés ; je tourne à droite pour aller où Suzie et Marion m’attendent sans aucun doute. Comble de malchance, je tombe encore sur la directrice, seule encore à traîner dans les couloirs. Je baisse la tête en marchant d’un pas vif, ce qui fait encore plus résonner le bruit de mes talons. Elle a toujours ce sourire bizarre quand elle me croise.
    
    — Vous allez bien, Catherine ? Votre visage est bien rouge…
    — La… la chaleur, dans la salle, sous le soleil : c’est étouffant.
    — Ah oui, nous n’avons pas les moyens d’installer la climatisation malheureusement.
    — Ce n’est pas grave ; au revoir !
    
    Je file sans me retourner pour bien montrer que je suis pressée. Arrivée au bout du couloir, j’entre dans les toilettes en poussant l’immense porte très large. Personne. Elles sont petites, pourtant. Au fond, deux portes pour chaque WC ; à droite, deux lavabos et à gauche deux autres portes de WC. J’entends alors dans mon dos :
    
    — Nous t’attendions, dit Suzie en refermant la lourde porte.
    
    Elles s’étaient installées derrière celle-ci et la porte me cachait leur présence. Je reste muette, ne sachant quoi dire ; j’ai une soudaine envie de partir, de fuir, mais mon bas-ventre veut ...
    ... tout le contraire.
    
    — Va au chiotte du fond, ouvre la porte.
    
    J’obtempère, toujours aussi muette.
    
    — Retourne-toi. Reste dans l’encadrement de la porte et enlève ton imper.
    
    Je pose tout ce que j’ai dans les bras par terre, et mon imper par-dessus.
    
    — Marion, va lui remonter la jupe !
    — Et si quelqu’un rentre ?
    — Y a plus personne à cette heure-là ; on est vendredi, t’oublies ?
    — T’as raison.
    
    Marion s’approche de moi, hésite un peu, mais devant mon manque de réaction ses mains attrapent ma jupe. Sentant sa copine douter, Suzie dit :
    
    — N’aie pas peur, elle n’attend que ça ; n’est-ce pas ?
    — …
    — Je veux t’entendre le dire !
    — Oui…
    
    Rassurée, Marion soulève ma jupe ; elle glisse doucement le long de mes cuisses, mon entrejambe commence à être visible.
    
    — C’est bon, arrête-toi là. Allez, la vieille cochonne, écarte tes jambes !
    
    J’écarte mes pieds assez largement en obéissant au mouvement de ses mains qui se sont activées car ma première position n’était pas à son goût. Ma jupe glisse encore un peu plus vers le haut.
    
    — Écarte-lui son haut, qu’on voie mieux ses gros nichons.
    
    Marion fait tomber le boléro de mes épaules, me regarde un moment puis, d’un geste vif, agrippe mon bustier par son milieu et le tire d’un coup sec vers le bas.
    
    — Elle est beaucoup mieux comme ça, dit Marion en riant.
    — Hé, c’est moi qui donne les ordres ici, mais c’est vrai que tu as raison : regarde la paire de miches qu’elle se paye ! Mate les tétons… Jamais vu d’aussi ...
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