Professeur, mais pas maîtresse - Partie 2
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
profélève,
école,
toilettes,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
fouetfesse,
Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... autre face, mes larges aréoles apparaissent en partie au-dessus. Mon haut persiste à vouloir se replier sur mon ventre. On a l’impression qu’il suffirait que je respire un peu fort pour voir ma poitrine exploser en dehors. Prenant l’air aussi détaché que possible, je le remonte. J’essaie de refermer au mieux mon boléro en me dirigeant vers mon ordinateur sous les rires masqués des filles et les yeux agrandis des quelques garçons présents. Alors que j’appuie pour faire débuter le Powerpoint, Suzie murmure :
— Je suis sûre que ça l’excite, cette vieille salope, de nous montrer son cul.
Je sens à l’état de mon entrejambe qu’elle a malheureusement raison.
Mon exposé démarre ; je réduis mes gestes au minimum pour éviter tout nouvel accident. Prise par le sujet, j’oublie parfois et mes bras s’agitent pour montrer un point précis à l’écran. Dès que je lève la main, le résultat est immédiat et les rires et messes basses couvrent mes explications. Je me précipite alors pour tirer d’une main et essayer de refermer mon boléro de l’autre, mais peine perdue : celui-ci s’ouvre comme les pétales d’une rose dès que je le relâche.
Malheureusement, les regards appuyés et les paroles murmurées m’échauffent de plus en plus les sens. Suzie fait de nouveau un bruit pour attirer mon attention ; elle fait le geste d’écarter sa chemise. Elle n’apprécie pas mon insistance à jouer sur mon caraco ; de toute façon, il ne veut pas tenir fermé. Je tire machinalement sur le nœud qu’il fait ...
... sous mes seins ; la pression sous ma poitrine se relâche, et les deux pans du boléro sont définitivement repoussés sur le côté. Ma poitrine difficilement contenue par le bustier est offerte comme dans un écrin.
Maintenant, chaque murmure ou réaction de la classe liés à mon déshabillage intempestif m’électrise tout le corps. Ma voix se fait de plus en plus hésitante alors que le sang afflue sur mes tempes et dans des zones beaucoup plus intimes.
Certains me demandent des explications m’obligeant à me pencher sur la table, offrant une vue immanquable sur mon décolleté ; bien sûr, la plupart font exprès car les rires fusent peu après.
— Regarde la tête qu’elle fait : ça l’excite, cette vieille cochonne, elle a fait exprès de se faire mater ses gros nichons.
— Vieille peut-être, mais elle me met le feu au cul ! répond Marion.
— Je suis sûre que sa chatte est encore plus trempée que la tienne et la mienne réunies… ricane Suzie.
Suzie voit juste ; elle me connaît de mieux en mieux. Arrive l’habituel exercice de fin de cours ; je vais avoir une demi-heure tranquille, mais je suis trop excitée pour espérer arriver à calmer mes pulsions.
Je distribue l’exercice, et sans attendre l’ordre de ma belle Asiatique je m’assieds sur le bureau jambes serrées, jupe tirée. Mes cours à la main, j’essaie de masquer mon excitation en faisant semblant d’être absorbée par ma lecture.
Le bruit sec d’une règle qui heurte une table me tire de ma lecture : Suzie, bien sûr. Nouvelle ...