1. Les lettres d’une libertine – Dogging pour routier (1/1)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Breizfrissons, Source: Hds

    ... sans attendre que je lui délivre mon savoir-faire.
    
    « Putain t’es bonne toi. On voit que tu aimes çà et que tu ne fais pas semblant. Ho la vache, cette bouche de sale pute je vais te la baiser ». Je configurais ma bouche pour accueillir le membre de plus en plus profond sans désagréments, le rythme s’intensifiait, le gland grossissait et je sentais le goût salé de la rosée-semence envahir mes papilles.
    
    A nouveau, ce retrait caractéristique qui annonce l’orgasme incontrôlé et de nouveau la douche chaude sur ma bouche et mon nez. Une odeur forte m’envahit les narines, l’homme déglutissant des onomatopées puis se confondait en remerciements.
    
    « Merci les gars c’était super. C’est fini pour aujourd’hui, bonne soirée » indiqua mon homme. Pendant que les mecs nous remerciaient, les remerciements et au revoir fusaient.
    
    La vitre remontait tandis que le moteur démarrait. Je commençais à vouloir remettre en place mes vêtements lorsque mon homme m’indiqua que ce n’était pas terminé. Tant mieux car en fait j’étais très excitée et frustrée de n’avoir pas eu d’orgasmes.
    
    Le trajet fut plus que court, un peu comme un tour de parking. La voiture s’immobilisa une nouvelle fois. Mon homme m’ouvrit la portière et je fus invitée à grimper sur un marchepied et m’arrêter en pleine ascension. Des mains avides me plotèrent le fessier, les jambes et des doigts fouillèrent ma raie culière.
    
    Mon homme m’invita à monter juste une jambe sur la marche suivante découvrant ainsi ma fente qui ...
    ... s’ouvrit d’elle-même. Je sentais la brise fraiche sur mon humidité débordante. Deux doigts y furent insérés et l’on entreprit de me doigter avec vigueur. C’est à la fois l’excitation de la position, l’angle de mon bassin et le rythme des doigts qui me firent devenir immédiatement fontaine orgasmique. Je n’en finissais pas de couler et gicler sur la main de mon partenaire. J’en obtenais une série de micro-orgasmes.
    
    A nouveau les mots orduriers : « une vraie salope offerte ! Tu as vu comme elle gicle et jouie ? ». Des voix incompréhensibles vinrent ponctuer cette phrase crue. Il devait donc y avoir un peu de public autour de nous. Je l’imaginais comme un groupe de routiers avides et cela m’excitait terriblement.
    
    Mon homme m’invita alors à finir l’ascension tandis qu’un corps prit appui derrière moi et me poussait presque à l’intérieur.
    
    J’entrais dans la cabine du camion, m’aidait du volant pour le positionner sur le siège passager. Car malgré mon bandeau, il ne fallait pas sortir de la cuisse de Jupiter pour comprendre qu’elle était la surprise du jour.
    
    La porte claqua derrière moi tandis que celle de mon coté s’ouvrait et que mon homme me réclamait une petite place.
    
    Des mains se posèrent en corbeille sur ma poitrine, une bouche gourmande entreprit la mienne, la langue forçant son passage et enfin m’embrassait avec fougue et envie. Il embrassait vraiment bien et son parfum était enivrant. Rien à voir avec l’image d’un routier baignant dans sa journée de travail. ...
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