1. L'amour au boulot - Partie 2.


    Datte: 03/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    ... que je connais bien désormais quand l’envie de faire l’amour me prend et le sexe de Jean-Louis est dressé comme un pic, dur comme du bois et suintant… Lorsque cet estoc me pénètre, je m’ouvre à lui mais dans ma tête, je ce cesse de penser à Véronique.
    
    Troisième partie.
    
    Les jours passent… Au moins une fois par semaine je fais l’amour avec Véronique et cette relation saphique a achevé de me libérer sexuellement. J’ai de plus en plus envie de ses caresses sur tout mon corps, de ses longues jambes qui s’emmêlent avec les miennes lorsque dans la position du papillon nous frottons nos vulves l’une contre l’autre, mélangeant nos sucs intimes qui coulent abondamment le long du gode à double tête que Véronique a apporté.
    
    Mes parties de baise avec Jean-Louis n’en sont pas moins torrides, on dirait que le désir l’une de l’autre est exacerbé lorsque je sors des bras de mon amante, que déjà satisfaite émotionnellement, je souhaite une étreinte virile pour combler mon corps de cette jouissance divine.
    
    Véronique devient aussi une sorte de confidente, jeune sœur que je n’ai pas eue, à laquelle je me confie dans des échanges des plus intimes. Quand elle m’explique comment elle s’est tournée vers les amours saphiques à la suite d’une agression sexuelle quand elle est entrée au Lycée, je lui raconte mes sorties en clubs libertins avec Jean-Louis, comment j’accepte désormais de me livrer totalement sur la piste de danse en balançant au rythme de la musique ma poitrine opulente et mes ...
    ... fesses bien rondes. Je lui confie aussi comment j’accepte les caresses des autres partenaires qui désormais peuvent pénétrer mes orifices de leurs doigts…mais pas de leur sexe ! C’est réservé à Jean-Louis !
    
    Ce dernier est de plus en plus curieux de ma relation avec Véronique au point qu’il m’incite à nous filmer lors de notre prochaine rencontre qui doit être la dernière au sein de la Société : le stage est terminé à la fin de la semaine.
    
    Ce soir-là, j’attends avec impatience l’arrivée de Véronique dans mon bureau. Sciemment, j’ai laissé mon ordinateur et ma caméra de visioconférence en marche. J’explique à Véronique que je veux, si elle y consent, conserver un petit film d’une de nos séances saphiques pour le regarder avec mon compagnon :
    
    • Oh oui ! Quelle bonne idée !
    
    Ce que je ne lui dit pas, c’est qu’en plus d’enregistrer, l’ordinateur va envoyer les images sur celui de Jean-Louis !
    
    Nous nous prenons dans les bras et commençons à échanger force baisers, de plus en plus chauds. Nos mains partent une nouvelle fois à la découverte du corps d’autre pour le dénuder. Véronique se presse contre moi, insinue une cuisse entre les miennes, frotte son pubis contre le mien qui déjà laisse suinter sa cyprine. Nos mains plaquées sur les fesses de l’autre pressent nos corps l’un contre l’autre : nous ne faisons plus qu’un tant nos membres sont emmêlés.
    
    Je pousse doucement Véronique sur un des fauteuils qui font face au bureau, je l’oblige à s’agenouiller sur l’assise, ...
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