Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le sexe (T.2)
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
délire,
Humour
articles,
Auteur: John Dough, Source: Revebebe
... l’excès inverse ?
Faut-il se tordre popol en pratiquant, mode d’emploi à la main, une gymnastique qui amène à se demander qui se fait niquer, sinon le niais qui a acheté le bouquin ? Une bonne levrette, ça ne suffit pas ?
Certes, toutes les positions décrites permettent, en tenant l’illustration dans le bon sens et moyennant un minimum de souplesse et une longueur décente de l’engin, de réussir une pénétration. Nous ne prétendrons pas le contraire. Si la pénétration est tout ce que vous souhaitez, allez-y sans crainte, ça marche ! Toutes les positions devraient le permettre.
Si par contre, une fois popol bien au chaud, vous souhaitez également le faire bouger dans un mouvement de ça-va-ça-vient plus ou moins sauvage, préparez-vous à de sombres désillusions : sorties intempestives, crampes et courbatures diverses, débandade anarchique, miction involontaire ou émission de flatulences… telle est la liste non exhaustive des problèmes qui vous guettent sournoisement.
Quel intérêt peut-il y avoir à se compliquer la vie à ce point ? La recherche de la performance ? La curiosité ? Si vous décidez malgré tout d’essayer diverses positions acrobatiques, nous ne saurions que trop vous conseiller de joindre l’utile au désagréable : mettez le caméscope sur trépied et filmez vos ébats, ou mieux : faites-vous filmer (mais pas par un mineur d’âge). Toutes vos tentatives ratées vous apprendront les choses à éviter par ceux qui veulent se garantir une vie sexuelle harmonieuse ; et ...
... le témoignage en images vous permettra de passer d’excellents moments devant la télévision – en les partageant entre amis lors des longues soirées d’hiver, pourquoi pas ? - et de vous rappeler si besoin est que non seulement le ridicule ne tue pas, mais qu’un moment de honte est vite passé.
Alors, la levrette : oui ! Le kama… le kamama… le kanana matra : non !
Pour en finir avec les M.S.T..
À l’intention de ceux et celles qui rentreraient tout juste d’un long séjour en orbite d’Uranus, commençons par préciser que M.S.T. est l’abréviation couramment utilisée pour l’expression « Maladies Sexuellement Transmissibles », à ne surtout pas confondre avec le groupe de rap féminin MST (Mes Seins Tombent).
Au risque d’enfoncer des portes ouvertes, autorisons-nous à vous rappeler cette recommandation pétrie davantage de bon sens que de poésie :« Pas de sexe sans latex », et qui donne en anglais :« No safe sex without latex », ce qui n’est pas plus élégant mais néanmoins tout aussi explicite.
L’Italien dira« Copulo si, ma cappuccino » (sortez couvert), l’Espagnol« No olé olé senza el capota » et l’Allemand« Kein Ein Tzwei ohne Kapf ». Quant à ce que dira l’Inuit, on s’en fiche, puisque de toute façon ses nuits sont souvent beaucoup trop longues pour que ça ne sente pas le caoutchouc brûlé.
De nos jours, une MST (le SIDA, disons-le trou net) éclipse toutes les autres, et pourtant, elle n’est pas si fréquente qu’on ne le pense. Par contre, elle ne se repère pas aisément à ...