pute en devenir 8
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: rolanddu04, Source: xHamster
... elle s’y rend. Je la détaille, l’observe. Le fait que ses cheveux ne viennent plus jusqu’à sa croupe, je découvre un dos magnifique, une colonne vertébrale parfaitement dessinée et une cambrure parfaite. Elle m’observe dans le miroir. Je lui demande d’écarter plus les jambes et de mieux se cambrer. la position est provocante. Je lui caresse le dos jusqu’aux fesses.
— Cela te va bien cette coupe. Plus besoin d’attacher tes cheveux pour recevoir tes coups de cravache.
Je lui embrasse le coup, les épaules et lui lèche la colonne vertébrale jusqu’aux fesses. Elle a des frissons, pourtant ce n’est pas dû à la température, il fait un bon 23° dans tout l’appartement. Je la prends par dessous les bras et les remonte très haut, toujours appuyée sur le miroir, je lui appuis sur les reins. Elle est cambrée au maximum. Entre ses cuisses, ça coule. Une odeur de sexe emplit la chambre.
— Tu es resplendissante, une petite chienne à saillir.
— Il me faudrait un collier, Monsieur, pour être votre chienne.
— Tu as raison, suis moi, chienne Aurélie.
Et c’est à quatre pattes qu’elle me suit dans notre chambre, à sa mère et moi, lieu de luxure et de débauche. J’ouvre le placard des sévices, Aurélie l’a baptisé ainsi au vu des godes, plugs, paddles, martinets et autres menottes qu’il contient. Je fouille et demande à Aurélie de se remettre debout. Je prends un gros collier en cuir et le passe à son cou.
— Non, vulgaire, pas assez classe, je le réserve pour ta mère. Vas ...
... t’habiller, on va allez te chercher ça. Et comme d’habitude quand on sort que tous les deux.
Sans dire un mot elle passe par la salle de bain, puis par sa chambre. Moi je m’habille chaudement, on est peut-être à Toulon, il fait encore frais en ce début de Mars.
Je l’attends dans le vestibule, elle arrive avec sa gabardine noire, ses bottes à talons. Je sais qu’elle est nue dessous ce long manteau qui lui tombe à 10 cm des chevilles mais dans le rituel de nos sorties, elle l’ouvre. Elle est nue. Je réajuste ma bite tendue dans mon jean et on quitte l’appartement. C’est elle qui referme la porte et sans m’attendre, elle empreinte la cage d’escalier. Encore un rituel établit entre elles et moi, jamais d’ascenseur et les quatre étages doivent être descendus au pas de course. Elle m’attend dans l’entrée de son immeuble. On part, direction le sex-shop.
Kathy, la gérante de la boutique, nous accueille avec enchantement, vu les coquettes sommes que j’ai claquées dans son établissement. Elle me fait un smack et roule une pelle à Aurélie.
— Quand est-ce que tu me la prêtes cette petite ?
— Pas tout de suite, plus tard, vieille vicieuse. Il me faut juste un collier classe pour ma petite chienne.
Aurélie à ouvert son manteau et Kathy en profite pour lui taquiner son sein droit.
— Joli piercing…j’ai plusieurs modèles, suivez-moi… Charles a fait du bon boulot.
On est devant une vitrine où sont disposés des colliers en cuir, vinyle et latex. Mais je suis attiré par un bijou ...