1. La princesse Grenouille et le prince Corbeau


    Datte: 01/03/2019, Catégories: laid(e)s, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, conte, merveilleu, contes, Auteur: Tooma, Source: Revebebe

    Il était une fois une princesse qui s’appelait Grenouille et qui était très laide. Ses cheveux étaient ternes, ses traits disgracieux, et son visage était couvert de boutons. Elle ne s’en souciait guère, car elle passait son temps à s’amuser dans le jardin du château avec ses suivantes, et à manger des gâteaux que lui préparaient les cuisiniers, ce qui n’améliorait pas sa ligne.
    
    Un beau jour, le roi son père la fit venir et lui annonça qu’il était temps pour elle de se marier. À cette fin, la reine sa mère, qui était très mondaine et qui avait un gros carnet d’adresses, invita au château bon nombre de princes. Mais lorsque ceux-ci rencontraient la princesse, ils la saluaient poliment, faisaient poliment avec elle un tour dans le jardin, lui contaient poliment des choses ennuyeuses, puis prenaient congé poliment.
    
    L’humeur de la princesse devint sombre et maussade. Elle voyait bien comment les princes regardaient certaines de ses suivantes pendant qu’ils lui faisaient la conversation d’un air ennuyé. Plus elle se regardait dans le miroir, et plus elle se trouvait laide. Et lorsque les gardes du château s’inclinaient respectueusement sur son passage, elle croyait les entendre murmurer entre eux des moqueries et des commentaires désobligeants. Elle tenta de se consoler en mangeant encore plus de gâteaux.
    
    Au cours d’une nuit très chaude, alors qu’elle n’arrivait pas à dormir et qu’elle ressassait sa tristesse et sa mauvaise humeur, un grand corbeau entra par la fenêtre de ...
    ... sa chambre. La princesse se redressa dans son lit, un peu effrayée. Et voici que le corbeau se transforma sous ses yeux en un prince de grande taille et au visage bien fait, revêtu d’un pantalon de velours et d’un grand pourpoint bleu. Encore plus effrayée, elle tendit la main vers la clochette qui lui servait à appeler sa servante.
    
    — Arrêtez, princesse, je vous en prie, s’exclama le prince. Vous seule pouvez me sauver, je vous supplie de m’aider.
    
    La princesse ramena lentement sa main, et, tout en faisant signe au prince de ne pas trop s’approcher de son lit, elle l’invita à parler.
    
    — Je suis la malheureuse victime d’une sorcière, dit le prince. Elle a jeté un sort et m’a changé en corbeau. Et pour survivre au lever du jour, je dois, chaque nuit, m’introduire dans la chambre d’une princesse, et la regarder.
    — La regarder ? demanda la princesse. C’est tout ? Encore qu’à dire vrai, les princes n’aient d’habitude pas tellement envie de me regarder, voyez-vous. Mais après tout, si pour une fois il y en a un à qui ça rend service… En tout cas, voilà, c’est fait, vous m’avez regardée.
    
    La princesse leva les yeux vers le prince.
    
    — Maintenant vous pouvez vous renvoler par la fenêtre, si vous voulez.
    — Heu… c’est un peu plus compliqué que ça, dit le prince.
    — Compliqué ?
    
    – Oui, je dois… comment dire… je dois vous regarder… sous votre chemise de nuit, enfin, je veux dire… entre vos jambes.
    
    — Quoi ? Vous voulez voir ma chatte ? s’exclama la princesse en tendant à ...
«123»