Les hommes sont tous des salauds. Les femmes, ça d
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
Hardcore,
Anal
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... salope, mais je me suis retenu.
Je fus aussi tenté de reprendre un verre de whisky, mais j’avais assez bu comme ça ce soir-là.
Nous n’avons plus échangé une parole pendant de longues minutes, puis j’ai fini par poser mon verre vide sur la table du salon en disant :
« Je n’ai pas faim, je vais me coucher. »
Mathilde a dormi dans le canapé cette nuit-là.
Le dimanche matin, je me suis levé tôt et je suis sorti. J’ai pris mon petit déjeuner aux Halles, rendu visite à mes parents, puis à un pote, et je suis resté en ville le reste de la journée, à boire des cafés et des verres dans les troquets qui étaient ouverts, en attendant l’heure de départ du train de Mathilde.
Puis je suis rentré à l’appartement.
J’ai envoyé un mail à une fille que j’avais déjà photographié et qui m’a répondu presque aussitôt en disant qu’elle pouvait venir poser pour moi le soir-même.
Elle s’appelait Eugénie.
20 ans.
Une jolie blondinette aux cheveux ondulés, assez longs. Des petits seins et de belles hanches. Mais ce n’était pas son physique qui m’intéressait, c’était son mental. Nous avions baisé à deux reprises auparavant, et à chaque fois nous avions joué. J’entends par là : nous avions fait des scénarios.
C’était elle qui m’avait dit à un moment donné qu’elle adorait ça. En parallèle de ses études à la fac, elle faisait du théâtre. Elle avait l’habitude de tenir des rôles et d’improviser des situations. J’avais adoré ça aussi.
La première fois, au terme de notre ...
... toute première séance de pose et d’une longue discussion devant des verres, elle avait joué le rôle de la voisine du dessus qui venait frapper à ma porte pour me demander si par hasard j’avais du Doliprane.
La deuxième fois, elle avait incarné une étudiante qui s’occupait du recensement.
Et je savais que ce soir-là, Eugénie ne verrait aucun inconvénient à jouer le rôle de ma compagne. Je savais qu’elle n’aurait aucun mal à se dire qu’on avait un faible écart d’âge. Aucun mal à se mettre dans la peau et dans la tête d’une femme qui annonce à son conjoint qu’elle a rencontré quelqu’un dans le cadre d’une formation qu’elle suit à quatre-cents kilomètres de là.
Aucun mal à réagir à mes répliques :
« Depuis quand ça dure, espèce de salope ? »
Ou :
« Il se protège quand il te baise, au moins ? »
Ou encore :
« Je veux que tu me dises ce que tu fais avec lui, dans le détail. Fous-toi à poil et attends-moi dans la chambre, salope. »
Je me suis déchaîné sur Eugénie ce soir-là.
Et dans le courant de la nuit, ensuite, à plusieurs reprises.
Ça lui a plu, elle adorait se mettre dans la peau de n’importe qui.
J’aimais bien cette jolie nana. Elle aussi me demandait deux cents euros pour une nuit. J’étais certain qu’elle finirait par se faire remarquer sur une scène de théâtre ou dans un court métrage.
Et je ne me suis pas trompé.
Cette histoire a six ans.
J’ai quitté Mathilde deux semaines après qu’elle m’ait appris qu’elle couchait avec un autre ...