Congé
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hhh,
fhh,
grp,
jeunes,
inconnu,
vacances,
plage,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
intermast,
Oral
fdanus,
hsodo,
Auteur: Kitty Lévine, Source: Revebebe
... dorloter un peu :
— Tu pourrais demander à Héloïse de dormir dans notre chambre ?
— Je verrai, répondit-elle malicieusement.
Le train était parti de Digne depuis un moment quand Sylvie remarqua :
— Au fait, je n’ai pas vérifié ta tenue. Tu as bien fait comme on avait dit ?
Si elle savait comme moi j’y pensais depuis le départ. C’était la première fois que je me baladais sans culotte et j’avais l’impression que tout le monde le savait, surtout avec ma jupe qui certes me descendait jusqu’aux genoux, mais tout de même. Mais j’aimais bien. J’avais l’impression d’être comme à la maison, et il n’y avait pas ce serrage de la poitrine. Mais ça, j’y étais habituée, car mon petit matériel tenait tout seul et je n’avais pas de problème, comme Nora qui me disait que parfois, quand elle ne mettait pas de soutien-gorge, elle finissait par avoir mal aux seins.
— Ne t’inquiète pas, j’ai tout fait comme tu m’as dit, lui susurrai-je en me rapprochant d’elle, histoire que les rares touristes du wagon n’entendent rien.
— Ah, tiens ? Moi je veux voir si tu ne me baratines pas. Allez, montre !
Tétanisée la Nathalie. Elle est folle ou quoi ? Dans un train : Bon ! D’accord ! On est que quatre et les deux autres sont à l’autre bout du wagon. Mais… Soudain, voie de sortie : retour de manivelle.
— Et toi ? Fais voir d’abord ? Pas chiche ?
Elle me lança un regard provocateur, jeta un œil sur les deux passagers, à l’avant, en train de regarder le paysage et me refixa, en ...
... commençant à relever son éternelle jupe longue. À ce moment, la lumière disparut. Nous étions dans un tunnel. Nous éclatâmes de rire toutes les deux et elle me dit :
— Celui-là, il fait plus de trois kilomètres ; on n’est pas près de voir quelque chose. Alors, vérification manuelle ! Sitôt dit, sitôt fait, nous voilà toutes les deux les mains baladeuses sous la jupe de l’autre. Soudain une lumière électrique s’alluma, et comme surprises en volant un pot de confiture, nous retirâmes nos mains. Le temps de réaliser la situation que les deux touristes vinrent s’asseoir sur la banquette d’à côté. No ways !
On se jaugea avec un regard qui disait :
— Tu ne perds rien pour attendre et je m’assoupis, m’éveillant pour voir le nom des gares : Annot, Pont-de-Gueydan, Entrevaux, Puget. J’étais bien !
Arrivées à Nice, nous partîmes à pied vers l’appartement. En chemin, nous passâmes devant un cinéma qui agira mon attention. C’était un cinéma où l’on passait un film pornographique : Exhibition. J’en avais entendu parler mais… mystère. Une curiosité s’éveilla en moi.
— Sylvie, tu en as déjà vu des films pornos ?
— Oui, avec Pierre ! me déclara-t-elle. Et… alors ? Tu n’en as pas vu, toi ?
— Non, bien sûr !
— Tu sais, il y a ceux qui adorent et ceux qui détestent.
— Tu m’emmènes ? dis-je, comme si je demandais un tour de manège à ma maman.
— Tiens, ça, c’est une bonne idée, mais posons les valises d’abord, c’est à deux pas.
L’appartement était clair, mais rien ne nous disait ...