1. J'ai bien pécho !


    Datte: 21/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Georges, Source: Hds

    Bredouille
    
    Il est quatorze heures, assis à l’ombre sur le bord de la rivière, en pleine campagne au bout d’un chemin poussiéreux où il ne passe jamais personne, a moitié somnolent je surveille mes deux lignes, , depuis trois heures de temps que je suis là je n’ai pris que deux perches que j’ai rejetées a l’eau, il fait tellement chaud que j’ai ôté teeshirt et short j’attends, c’est en slip que j’attends que le soleil tombe un peu pour reprendre la route et retrouver la routine de mon couple vieillissant
    
    - Bonjour monsieur
    
    - Hein ? quoi ? ha ! bonjour les jeunes
    
    - Ça mord ?
    
    - Boff je suis là surtout pour passer le temps, il fait chaud hein ?
    
    - Je vois ça, nous aussi cherchons la fraicheur
    
    - Vous avez raison, bon après-midi vous deux !
    
    - Merci, bonne pêche !
    
    Ces jeunes amoureux m’ont surpris arrivant à pieds sans bruits de je ne sais où, le garçon qui doit avoir maxi dix-huit a un plaid sous le bras, tout en tenant la jeune fille serrée par la taille… la jupe en jean moitié déboutonnée, le corsage qui ne tient que par deux boutons sorti de la jupe je me doute qu’ils cherchent un endroit propice à des galipettes
    
    S’ils continuent dans cette direction ils ne pourront aller bien loin, c’est en cul de sac mais apparemment ils connaissent les lieux car à trente mètres ils passent sous une barrière qui mène dans un pré ombragé … je ne peux m’empêcher d’imaginer la suite … aaaahhhhhhhhhhhh, ça me rappelle ma jeunesse, ils vont se déshabiller et … ...
    ... surveille donc tes lignes vieux vicieux !
    
    N’empêche que les éclats de rire ponctués de silences me font imaginer leur emploi du temps, du coup ça remue dans mon slip, et si je me dégourdissais les jambes ? je pars d’abord dans le sens inverse pour combattre l’envie de ‘voir’… mais la curiosité est la plus forte, je reviens sur mes pas et passe devant cette fameuse barrière, de grands arbres et une herbe assez haute peuvent aisément cacher des ébats amoureux, je continue... voici une autre et dernière barrière que je décide d’emprunter, des gémissements me guident, mon short se tend sous l’érection qui nait, je fais pipi tout en tendant l’oreille
    
    - Attend avant de retirer ma culotte Coco, ne soit pas si pressé !
    
    - Ça fait une demi-heure que je bande Mamour ! j’ai vachement envie de te baiser
    
    - Sois patient je vais te sucer avant
    
    Ces paroles suffisent à bloquer mon envie de pisser, je laisse ma trique sortie du slip pour avancer sans bruit vers où proviennent ces énigmatiques mots hachés, je fais les vingt dernier mètres qui me sépare de la haie artificielle à genoux, la végétation fraiche caresse agréablement mon gland, ils sont là au pied de ce grand saule, mais si je veux voir quelque chose je dois reprendre la station debout… ah voilà le garçon, il est nu, à genoux près du visage de ‘Mamour’ elle aussi entièrement nue allongée sur le plaid, poitrine blanche et menue, toison d’ébène elle tient dans sa main fine une verge longue et mince qu’elle décalotte et recalotte ...
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