1. Le calvaire d'une jeune fille (4)


    Datte: 21/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... alentours de la pièce, il commençait à râler bruyamment et à parler fort :
    
    — OH T’AIMES ÇA HEIN ! JE TE MANQUAIS TROP ! SALOPE ! T’AIMES TROP LA BITE ! RAH RAH RAH !
    
    Ses mots n’avaient plus d’impact sur moi, c’était devenu mon quotidien, une simple banalité mais j’avais honte que son père nous entende et Axel le savait.
    
    Il me disait de commencer à pousser des cris de gémissements pour le stimuler et de nouveau, j’obéis.
    
    Pour lui, mes cris n’étaient pas assez forts et il me tapait sur les côtés pour que je crie bien plus fort.
    
    — AH AH AH AH « criais-je.
    
    — OH C’EST BON ! T’AIME TROP LA BITE ! »
    
    Il finit par éjaculer dans mon vagin en hurlant. Avec son hurlement, c’était obligé que son père comprenne que c’était fini.
    
    Cinq minutes après, le temps de retrouver son souffle, je pensai que mon humiliation était terminée. J’étais loin de me douter de la suite...
    
    Axel me demanda d’aller m’excuser auprès de mon père pour le « vacarme » que j’avais fait et me dit mot par mot ce que je devais lui raconter.
    
    Axel savait que j’allais lui obéir, on se rhabilla. Son père était sur son ordinateur à faire je ne sais quoi. Le dialogue se passa ainsi :
    
    — Monsieur X..., je m’excuse que vous m’ayez vue comme ça... dans votre salon... nue...
    
    — Ce n’est rien, Kriss. C’est oublié, j’ai rien vu.
    
    On était tous les deux gênés par la situation. On n’osait même pas se regarder en face. Quelle honte... Quant à Axel, il était tout content de mon humiliation, et me ...
    ... fusillait d’un regard qui signifiait : « Continue ».
    
    — Et je m’excuse aussi... euh... c’est gênant... d’avoir poussé des cris de plaisir... quand on faisait l’amour.
    
    — C’est rien, c’est normal à votre âge.
    
    Axel me réprimanda :
    
    — La prochaine fois, évite de m’attendre comme ça. Tu nous fous la honte à tous les trois. Je sais que t’aimes le sexe mais il y a des limites. Maintenant, va te doucher, tu pues !
    
    Rouge comme une pivoine, je me rendis vers la salle de bain, humiliée. Son père avait à présent une image d’une nymphomane qui beuglait à chaque coup de reins.
    
    Avec sa belle-mère :
    
    Un soir alors que je dormais à côté d’Axel, il commença à me toucher. Silencieuse, je comprenais ce qu’il me voulait et me déshabillai naturellement.
    
    Il me baisa et il m’éjacula sur le visage et une grande partie du corps, après qu’il eut fini son affaire, je me levai pour me rendre dans la salle de bain mais il m’ordonna :
    
    — Non ! Va te laver dans l’autre salle de bain, je veux pas que tu salisses la mienne.
    
    — Laisse-moi me laver s’il te plaît, ça pue et ça va coller.
    
    — Je m’en fous, casse-toi et va à celle de la maison !
    
    (On était dans le petit studio aménagé, il voulait que je me lave dans la salle de bain familial, je devais traverser le petit jardin)
    
    Il serra les dents et me jeta des regards froids pour me montrer qu’il était sérieux.
    
    C’est ainsi que je me retrouvai nue, couverte de sperme, dans le petit jardin familial.
    
    Et là, stupeur, dans la maison, ...