Pour le meilleur ou... (3)
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Thyler, Source: Xstory
... gland à travers le tissu: il sentit la sève monter, et il la regarda s’en délecter dans des bruits de succion particulièrement excitants ! Elle s’abreuvait littéralement de son jus. Après quelques minutes de ce traitement, elle le fixa droit dans les yeux:
— J’en peux plus... Je vais te sucer maintenant, je veux sentir ta queue dans le fond de ma gorge !
Elle baissa le boxer d’Arthur qui en profita pour ôter son T-shirt. Il ne portait plus que ses baskets. Son sexe libéré n’avait jamais semblé aussi gros, aussi trempé. Toujours assise face à lui, Émilie commença à lécher ce membre dont elle rêvait. Elle ne s’attarda pas, préférant aller à l’essentiel. Elle ouvrit grand la bouche et engouffra le pénis de son ami. Aussitôt elle chercha à aller le plus loin possible. Arthur sentit sa bite buter contre le fond de la bouche puis se frayer laborieusement un chemin dans la gorge d’Émilie. Il fixa Hélène avec intensité tandis que leur maîtresse commune l’aspirait avec ardeur. Sa femme gémissait en se touchant: l’heure n’était plus au petit clin d’œil complice, elle se trouvait dans un état second. Il observa de nouveau sa partenaire: elle glissait sur sa queue à toute vitesse, reprenant de temps en temps son souffle en entraînant avec elle un flot impressionnant de bave et autres sécrétions. Pour assurer son geste, ses mains rejoignirent sa bouche sur le pénis d’un Arthur conscient de sa chance. Haletante, elle y retournait à chaque fois: plus fort, plus vite ! C’était ...
... au-delà même de ce qu’il osait imaginer: le plaisir physique était incroyable, mais la sensation intellectuelle était la cerise sur le gâteau. Tout était réuni pour rendre ce moment aussi intense qu’inoubliable. Le fait d’être dehors, qu’elle le suce comme une morte de faim devant sa femme (qui commençait elle aussi à perdre le contrôle) décuplait son plaisir de manière indéfinissable.
Et tandis qu’il se concentrait pour ne pas jouir trop vite, il sentit soudain deux mains palper ses fesses. Hélène était derrière lui, en nage. Émilie se retira, complètement essoufflée, elle aussi ruisselait. Sa frange plaquée sur son front par la sueur et la salive, les lunettes maculées du liquide de son partenaire. Voyant Arthur entre de bonnes mains elle déboutonna son short et commença à se toucher en les regardant. Arthur observa sa femme: la sueur perlait sur son corps, à tel point que son débardeur blanc en était devenu transparent. Les mamelons qu’il chérissait tant saillaient sous le vêtement comme pour le percer. Hélène l’embrassa vigoureusement, puis s’agenouilla derrière lui. Elle fit signe à Émilie de reprendre là où elle s’était arrêtée, ce qu’elle fit. Toujours la même stratégie: à fond et au fond ! Mais cette fois, il y avait un petit plus... Hélène souleva sa cuisse, comprenant ce qu’elle voulait Arthur posa le pied gauche sur la chaise d’Émilie. Ainsi sa femme eut libre accès à son cul, un endroit qu’elle ne visitait que rarement. Mais lorsqu’elle le faisait, c’était toujours ...