1. Telle mère, telles filles ! Ch 3


    Datte: 26/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Anal Première fois Auteur: phantome19, Source: xHamster

    CHAPITRE 3 : Lili, la benjamine.
    
    A la quinzième ligne, j'allais m'assoupir, quand un minuscule coup de la sonnette attire mon attention.
    
    - Qui est là ?
    
    Une petite voix, distincte et faible à travers le bois de la porte, répondit :
    
    - Une enfant de putain.
    
    Je n'ai pas envie de rire, mais cette façon de s'annoncer est une de ces courtes phrases inoubliables qui survivent d'elles-mêmes à la monotonie de l'existence. J'ouvre. Une drôle de jeune fille entre, futée, fripouille, fine et le regard franc, les bras ballants, le nez en l'air.
    
    - C'est moi Lili, ta nièce, dit-elle.
    
    - Je m'en doutais, répondis-je en riant. Tu me semble très gentille, Lili.
    
    - Vous aussi vous êtes gentil et très beau. Je n’ai pas envie de m'en aller.
    
    Pourquoi n'ai-je pas le vice des jeunes filles ? Je me le demande. Elles sont odieuses entre elles, mais si tendres avec nous ! Je suis flatté, je ne le cache pas, très flatté du compliment que Lili me flanque à la figure.
    
    Avec une femme, tous les mots d'amour sont voilés par la brume d'incertitude que soulève notre prudence devant nos crédulités. Une adolescente nous désarme et on la croit instinctivement.
    
    J'embrasse Lili, mes lèvres passent des joues à la commissure de ses lèvres.
    
    Les bras autour du cou, elle me dit très vite, sur un ton d'excuse et un peu soucieux :
    
    - J’n’ai encore pas beaucoup de poils. Est-ce que vous aimez ça ?
    
    - Tu ne le diras pas à ta mère ?
    
    - Non. Tenez. Regardez. Je n’ai pas de culotte. ...
    ... C'est maman qui me l'a retirée pour pas la salir avec ton foutre.
    
    - Mais c'est joli comme tout, ce que tu me montres
    
    -J'enlève pas ma robe, dites ? Ou je la soulève au dessus de la taille ?
    
    - Oh ! La retirer serait immoral mais je n'aime les jeunes filles que toutes nues.
    
    - C'est que..., fit-elle avec la franchise de son jeune âge..., ce que j'ai de mieux, c'est mon chaton et mon petit cul. Le reste est d'un moche !
    
    - Je suis sûr que tout le reste est gentil et mignon comme tout.
    
    - Vous allez voir. Et vous qui venez de coucher avec maman, quand vous regarderez mon corps de poulette, faudra que je vous travaille pendant un quart d'heure pour vous faire bander.
    
    - Pas du tout. Je te parie ce que tu veux.
    
    - Et qu'est-ce que je devrais faire si je perds ?
    
    - Une sévère punition de ma part ou un désir vicieux.
    
    - Tope-là ! dit-elle. Je m'en fous. Je sais tout faire. Ne te gêne surtout pas.
    
    Le déshabillage de Lili se fit en quatre temps et quatre mouvements :
    
    La robe, les deux pantoufles, les deux chaussettes, la chemise... Quand elle a enlevé tout cela, il ne reste presque rien de Mlle Lili, tant sa nudité me semble peu de chose.
    
    Des bras et des jambes très fins, des cheveux noirs jusqu'à la taille; un petit corps d’ado avec une grosse motte et un sexe tout en saillie... s'il est vrai qu'un menu bien pensé doit réunir les mets les plus dissemblables, le service de Lili après celui de Marie eût été la trouvaille d'un chef.
    
    Le premier mouvement de ...
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