1. L'Equipe XV


    Datte: 25/02/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: IwaoHarada, Source: Hds

    ... lubrifiant. Julien en fait couler sur la raie de mes fesses, d'un pouce titille ma rondelle et y pousse un peu de gel puis de sa main enduit généreusement son sexe du fluide. Le blondinet, l'ailier de notre équipe se glisse alors sur moi, s'allonge sur moi, son torse contre mon dos, son entrejambe épousant la forme ferme et légèrement rebondie de mes petites fesses. Il guide son sexe le long de ma raie et le laisse reposer là. Julien m'embrasse dans le cou alors qu'il roule des hanches pour faire glisser sa queue entre mes fesses.
    
    Durant quelques longues secondes, une minute peut être, il me chauffe ainsi tout comme il se chauffe et finalement il me demande si je suis prêt; Je hoche de la tête en guise de réponse et sa main se saisi de son sexe bandé, pressant, guidant son gland contre ma rondelle puis lentement il me pénètre. Le gland seul d'abord et il se retire, le gland et un peu de sa hampe après et se retire, enfin, il se glisse totalement en moi, se tenant sur les mains, il arque son corps pour pousser au maximum ses hanches contre moi, enfouissant ainsi son sexe bien en moi. A chaque mouvement il grogne son plaisirs, cette sensation de mon corps, de mes parois comprimant son sexe, moi je gémis sous l'intrusion, me délectant de cette invasion, de sentir mon corps résister et s'ouvrir. Il reste ainsi, planté au fond de moi quelques instants me murmurant à l'oreille qu'il peut sentir mes parois téter son sexe comme un bébé le sein de sa mère. J'ai envie de lui dire ...
    ... qu'il est con mais j'aime cette image mentale. Mon amant m'embrasse de nouveau dans le cou et me demande si il peut bouger. Je lui dis que oui et tourne ma tête au maximum cherchant ses lèvres pour un rapide bisou puis il se met à rouler des hanches. D'abord complètement allongé sur moi ses mouvement sont verticaux, lents mais il accélère son rythme, de temps à autre il se cambre et reste bien en moi un instant sans bouger avant de recommencer, il se soulève sur les bras, pousse de ses pieds, écarte ou joint mes jambes mais reste toujours sur moi, en moi. Le lit, surement un ikéa grince sous nos ébats et mélange ses bruits à nos gémissements et grognements. Il s'écoule ainsi cinq ou six longues minutes durant lesquelles le claquement de nos peaux l'une contre l'autre ampli la chambre. Lorsqu'il est complètement allongé sur moi ses mains couvrent les miennes par le dessus et il me mordille les épaules. Sa respiration devient plus rauque, plus puissante tel ses grognements. Julien ressent son orgasme se faire de plus en plus proche et à chaque coups de rein il essaie de pousser plus fort, plus loin en moi. Finalement il se cabre et éructe avec force, mes mains ses jettent derrière et j'agrippe ses fesses, ses cuisses, le tirant vers moi, le voulant au fond de moi. Il pousse en vain sur ses pieds comme si il pouvait se glisser un peu plus en moi et halète comme un fou alors que de ses couilles sa semence s'écoule par sa verge et jailli au fond de moi. Mon propre plaisir et à son ...
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