Dorothée 2
Datte: 25/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Le relieur, Source: Hds
Dorothée 2
Pendant les jours qui ont suivi cette rencontre, je n’ai fait qu’y penser, et rien que d’y penser je mouillais ma culotte, au point que j’ai fini par ne plus en mettre, Bertrand en a profité, et bien sur pendant ce temps je pensai à cette grosse queue qui m’avait fait tant jouir.
C’est surtout la nuit, après mes rêves érotiques, ou plutôt pornographiques, je me réveillais la chatte en feu, dégoulinante de plaisir ; si au moins il était là, il pourrait se régaler, cette pensée à fini par faire son chemin dans ma tête, je ne pensai plus qu’à cela.
J’ai fini par l’appeler, pour lui dire combien j’avais envie de lui.
« Viens quand tu veux, je sais maintenant que tu ne peux plus t’en passer pas vrai ? »
« Oui j’ai trop envie de toi !!! »
« Alors viens je t’attends !! »
J’ai enfilé une petite robe courte que je mets à la plage, elle m’arrive à mi cuisses je prends mon sac et mes clés et je monte en voiture.
Avant de démarrer je réalise que je suis sans culotte, et que je mouille tellement que je vais tacher ma robe et par delà même le siége.
Je prends un mouchoir dans mon sac et je me le mets dans le sexe en guise de tampon.
Tellement excitée que je ne sais pas comment je me retrouve devant chez lui, je suis devant la barrière de sa résidence et je lui téléphone pour lui demander de m’ouvrir, pas de réponse sauf que la barrière s’ouvre ; il devait me guetter. Je me gare et me dirige vers la porte d’entrée, quelqu’un sort je n’ai donc pas ...
... à sonner.
Ascenseur et me voilà devant la porte de son appartement, qui s’ouvre et me voilà devant lui comme une collégienne, le coeur qui bat à cent à l’heure, je ne vais quand même pas tomber dans les vaps comme la dernière fois.
Il me prends par la taille pour me soutenir, la porte à peine fermée qu’il me roule une pelle d’enfer, nos lèvres sont soudées, et ma langue répond à la sienne. Tandis qu’une main me plaque contre lui, l’autre fait remonter ma petite robe, afin de malaxer mes fesses, et constater ma nudité.
Cessant son baiser il me dit : « pas de culotte c’est bien, tu étais drôlement pressée dis donc !!!!!! »
Sur ce il fait tomber les bretelles de la robe qui tombe à mes pieds, me voilà nue toute nue pour lui, pas tout à fait. En passant sa main entre mes cuisse il constate la présence du mouchoir, qu’il retire et le porte à son nez.
« Toujours aussi parfumée ma chérie !!!! »
Je le garde ta petite chose en dentelle n’a plus beaucoup d’odeur.
« Allez viens que je goûte à ta petite fente mais avant il faut qu’on la voit parfaitement »
« Comment ça ? »
« Les poils au dessus c’est bien mais autour de tes babines d’amour ça cache tout !!!!!
Allez on va raser tout ça !!!!! »
« Non !!! mais je ne veux pas !!!!! »
A peine fini cette phrase que je reçois une gifle magistrale qui me laisse sans voix et sans réaction, si bien que je me retrouve allongée sur la table, poignets et chevilles attachés aux pieds de la table.
Il avait tout ...