1. Découverte


    Datte: 25/02/2019, Catégories: fh, grp, couple, couplus, boitenuit, fsoumise, hsoumis, Oral préservati, fsodo, hsodo, BDSM / Fétichisme exercice, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... le chemin du salon.
    
    C’est un régal de la suivre, son habit la laissant totalement nue dans le dos. Pour être honnête, le devant n’est pas beaucoup plus caché, et l’ensemble ne tient que par deux lanières. Sophie me surprend par sa décontraction. Où a-t-elle appris à être si à l’aise, presque nue, devant d’autres ? Je la soupçonne même d’exagérer son déhanchement, mais quel délice !
    
    Elle a décidé de jouer le jeu, et aussitôt que nous sommes installés dans les fauteuils, elle nous apporte les apéritifs. Pendant ce temps, j’esquisse un début de conversation.
    
    — Nous nous sommes déjà vus, n’est-ce pas ? dis-je au couple de voyeurs.
    
    C’est elle qui répond :
    
    — Bien sûr, en face de chez Marc, avec votre soubrette.
    
    Un charmant sourire évocateur de cet instant accompagne la réponse.
    
    Me tournant vers Marc, je l’interroge.
    
    — Vous vous connaissez depuis longtemps ? demandé-je, curieux de savoir si les voisins sont des voyeurs occasionnels ou attitrés.
    
    Marc se tourne vers le couple, comme s’il demandait son autorisation. L’homme hoche la tête.
    
    — C’est une longue histoire. Sandrine a été ma soumise pendant plus d’un an. Délicieux moments, je dois dire.
    
    Et, se tournant vers Sophie, qui ne sachant quelle attitude adopter, reste debout à côté de moi :
    
    — Nous verrons si votre soubrette saura atteindre ce niveau.
    
    Et, revenant vers moi :
    
    — Notre ami Pascal a enflammé son cœur, et j’ai renoncé à mes prérogatives devant un si bel amour. Mais heureusement, ...
    ... Pascal est un esthète partageur et nous formons une grande famille, ce qui explique leur présence aujourd’hui.
    — Monsieur est servi.
    
    Sophie joue son rôle. Nous passons à table. Je dois reconnaître que le repas a été vite expédié, chacun anticipant la suite.
    
    Retour dans le salon. Service du café. Quel charmant spectacle que ce postérieur dégagé lorsqu’elle se penche ! Personne, même moi, ne résiste au plaisir de flatter la croupe, voire de glisser un doigt inquisiteur. Le mien ressort trempé, preuve que la coquine apprécie le traitement.
    
    Puis, faute commise exprès ou mauvaise manipulation, une tasse se renverse. Marc se dresse.
    
    — Maladroite !
    
    Elle s’est figée. Je suis certain qu’elle se dit « enfin ». Ses yeux implorent. Je sais maintenant que ce n’est pas le pardon qu’elle attend. Non : la coquine attend la punition. Les coups ! Les claques ! Les sévices ! Tout ce qui précède et qui va augmenter encore son envie de se faire posséder.
    
    Oh, les coups ne sont pas trop forts.
    
    Les claques pas trop appuyées.
    
    Les sévices raisonnables.
    
    Surtout pendant pas trop longtemps, car elle ne souhaite qu’une chose : c’est qu’un sexe viennent la fouiller, glisser dans sa chatte, dans son cul ; peu importe, pourvu que la braise qui occupe son bas-ventre depuis plusieurs jours puisse s’éteindre par la semence d’homme.
    
    Mais Marc en décide autrement. Des claques, oui. Quelques-unes sur les fesses, sur la chatte, sur les seins alors qu’il lui enlève le déguisement de ...
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