Fiancée volée 1
Datte: 25/02/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: Accent, Source: Hds
... dans certaines rues comme la rue du faubourg Saint-Denis ou la rue Saint-Denis qui nous mèneraient vers la Seine et le quartier latin où nous irions dans un restaurant grec à midi.
Il était indispensable de connaître les spectacles mettant en valeur le corps des femmes. Il me poussa dans un peep show, discuta à voix basse avec une sorte de caissier aux gros bras et me fit entrer dans une cabine étroite. A l‘avant un judas s‘est ouvert sur un spectacle absolument hallucinant. Sous mes yeux incrédules tournait un lit circulaire recouvert de peaux de mouton. Et sur ce lit était allongée une masse confuse de corps humains; c’étaient deux jeunes corps de femmes, emmêlés de façon bizarre.
L’une était couchée sur le dos, la masse sombre de ses cheveux était répandue largement, mais son visage était caché par la croupe maigre de sa compagne allongée sur elle. Celle-là n’avait pas plus de visage. Sous la masse de ses cheveux blonds, sa tête se perdait entre les cuisses relevées de la première, décrivait un lent mouvement. Par instant je remarquais les sursauts de la croupe ou les crispations des deux mains sur les hanches de la blonde.
- Ce sont deux nanas qui se gougnottent, me glissa Benoît.
Je haussais les épaules en signe d’incompréhension, intriguée par cette immobilisation de deux catcheuses nues. Au cours du déplacement du lit autour de son axe, j’eus l’impression que la brune collait sa tête ou plutôt sa bouche à la jonction des jambes de la maigre qui la ...
... couvrait. La mordait-elle ?
- Elles font l’amour. Elles se lèchent le sexe, sle sucent et se font du bien. Attends, elles vont se déplacer, tu verras mieux.
Je portais une robe d’été et je sentais dans mon dos la chaleur de mon guide serré contre moi par nécessité car la cabine était étroite. Ses mains reposaient sur mes hanches, son murmure chatouillait mon oreille.
- C’est un soixante-neuf de gouines. Regarde, la blonde relève la tête, on voit bien la cramouille de l’autre, toute rose, ouverte par les doigts de l’amie. Tu as vu, elle lui a fourré un doigt dans le minou, elle le fait tourner et l’enfonce. C’est beau hein. Tu avais déjà vu ça? Je parie que tu as déjà pratiqué ce broute minou.
- Oh! Non, tu ne voudrais pas. C’est sale. Et les odeurs, et la mouille ? Elles se boivent? Brrrr, c’est dégoûtant.
- Pourquoi? Elles s’aiment et se le montrent. Je trouve ces gestes magnifiques. C’est plein de tendresse, d’amour. La blonde est prise de tremblements, elle va jouir. Observe son visage.
En effet elle roulait des yeux, sa bouche ouverte recherchait l’air, elle grimaçait. Et les deux mains de Benoît, refermées sur ma poitrine ajoutaient au trouble né du spectacle. Inconsciemment, à cause de l’exiguïté du lieu, il me tenait de près, ses doigts pétrissaient doucement mes seins et j’avais l’impression que mes tétons durcissaient, comme la fois où tu avais glissé ta main dans mon corsage et où tu avais si gentiment caressé mes « deux colombes ».
Dans mon dos je ...