L'été de mes 18 ans 14
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica
... avait senti mon trouble. Heureusement elle avait terminé ses achats car je n'aurais pas pu me retenir plus longtemps sous les assauts de Valérie qui suçait mon bouton tout en me doigtant énergiquement. La porte était à peine refermée que je me mis à gémir et que je jouis en criant. Valérie se releva et me murmura :
« Suce-moi aussi, je t'en prie, j'ai trop envie! »
Je m'accroupis devant elle et relevant sa jupe d'une main, je me mis à lécher sa fente toute trempée. Elle se mit à donner des coups de cul en geignant et elle ne tarda pas à jouir.
« Ah merci Claire, c'était délicieux. Hélas, je dois retourner à mon poste. »
La journée se termina sans autres péripéties. Le soir, j'emportais chez moi les achats de Mme Bernier pour les lui livrer le lendemain matin. Elle habitait à quelques kilomètres de chez moi. Comme il faisait beau, je m'y rendis en vélo. J'avais mis une robe légère pas trop courte et des dessous sages. J'avais décidé de faire à nouveau l'ingénue, car ce rôle me plaisait beaucoup.
Je sonnais à la grille et Mme Bernier vint m'ouvrir. Elle portait une jupe longue et un chemisier échancré qui dévoilait la naissance de ses seins assez lourds.
« Ah bonjour! C'est vraiment gentil de me livrer. Entre! Je peux te tutoyer? Tu es si jeune... c'est quoi ton prénom? »
« Euh... Claire », murmuré-je d'un air timide. Elle m'entraina dans le salon et me servit un jus d'orange. Nous ...
... nous assîmes sur un canapé en cuir fauve et nous nous mîmes à papoter.
Ses questions devenaient de plus en plus indiscrètes et je répondais en rougissant et en hésitant.
« Alors, comme ça, tu n'as pas de petit ami... ni de petite amie? Moi, à ton âge, j'en faisais de belles... Jolie comme tu es... »
Elle s'était rapprochée de moi en parlant et avais posé une main sur mon genou découvert. Mine de rien, sa main remontait doucement, entrainant ma robe de plus en plus haut. Lorsqu'elle aperçut ma culotte en coton blanche, elle s'écria :
« Mon Dieu Claire, quels tristes dessous! Il faut faire quelque chose! »
Et elle me prit la main et m'entraina dans sa chambre. Elle ouvrit les tiroirs d'une grande commode et se mit à fouiller. Elle en sortit un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle blanche ajourée et me dit :
« J'ai acheté cet ensemble pour ma fille Isabelle, mais il ne lui plait pas. Je te le donne s'il te va. Tu n'as qu'à l'essayer. Appelle-moi quand tu es prête! »
Et elle sortit, me laissant seule. Je n'hésitai pas longtemps et troquai mes dessous contre ceux de Mme Bernier. Ils m'allaient parfaitement et étaient assez coquins, ne cachant pas grand-chose, ni les pointes de mes seins, ni mon pubis. Je passai la tête à la porte et appelai Mme Bernier. Elle me cria :
« Viens, je suis dans le salon! »
Je retournai dans le salon et m'approchai d'elle timidement. Elle s'écria :