1. La suppliciée (1)


    Datte: 24/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... obtient est ensuite appliquée sur le crâne de la brune qui ferme maintenant les yeux. La femme en robe longue s’applique et du même endroit d’où elle a sorti les instruments, elle retire un long rasoir et une sorte de lanière de cuir. Ses mouvements sont très réguliers alors qu’elle fait aller et venir la lame d’acier sur le cuir.
    
    Placée sur le côté de la femme assise, elle lui maintient le chef d’une main, et de l’autre elle fait glisser son autre patte. Une large étendue claire apparait sur la tête de celle qui, immobile sur son siège subit cette coupe à blanc. Les mouvements sûrs se répètent, et c’est une caboche totalement lisse et d’une blancheur parfaite qui apparait sous la lampe puissante éclairant la scène. Aux pieds de celle qui continue à garder les yeux clos, un tapis de longues mèches brunes qui s’emmêle dans d’autres, plus courtes, remplies de mousse de savon, celles-ci. La boule est lustrée par une serviette de coton rouge, habilement maniée par la femme qui a posé ses ciseaux.
    
    Alors qu’elle se met sur le côté pour admirer son œuvre, la salle se met à applaudir. Prostrée sur son siège, la femme tondue ne bronche pas. Une musique, surgie de nulle part, vient soudain inonder la salle. Puis la coiffeuse s’efface et un homme arrive. Pantalon noir, chemise blanche et cravate sous une veste noire, un Monsieur Loyal sans haut de forme vient de faire son apparition sur l’estrade. Il ne dit lui non plus pas un mot. Il se contente de taper dans ses mains. C’est ...
    ... pour celle qui est assise, comme un signe. Elle se lève et reste plantée là, sans un mouvement, la tête penchée en avant, face au public. Une autre fille, seulement parée d’une culotte et d’un soutien-gorge arrive à son tour. Elle manie un balai, faisant en quelques instants disparaitre les reliefs de la coiffure ainsi que le siège, désormais inutile.
    
    Aussi rapidement qu’elle est apparue, elle disparait dans l’ombre des planches. La musique est douce et ne s’interrompt nullement lorsque deux hommes entrent dans la lumière, poussant une sorte de table à roulettes. Quand elle est placée au centre de la scène, sous la lampe puissante. Ils bloquent les roues pour qu’elle ne bouge absolument plus. Cet autel est recouvert d’un drap couleur sang. La femme chauve maintenant et prise par le bras par l’homme resté sur la scène. Sans dire un mot, il lève la main et la femme semble savoir ce qu’il désire. Elle dégrafe un à un les boutons de sa robe qui ferme sur le devant, retire ce vêtement.
    
    En slip et soutien-gorge devant tous, elle entreprend, sans dire mot toujours, de se mettre nue. Ce sont d’abord deux beaux seins qui sont en pleine lumière. Leurs larges aréoles sombres montrent en leurs centres deux fraises magnifiques. Puis la culotte qui glisse le long des cuisses, pour s’affranchir des chevilles par un pas de côté de la dame, dévoile un pubis velu, un triangle qui remonte presque jusqu’au nombril. Elle est invitée par le type en noir à s’allonger, face au public sur l’étal ...
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