1. Pasiphaé Reine de crète


    Datte: 23/02/2019, Catégories: Sci-Fi & Fantaisie, Auteur: byromane, Source: Literotica

    ... l'amour comme à l'une d'elle. Je suis devenue folle.
    
    Depuis ce soir là, je me montre régulièrement nue au fabuleux taureau. Il me regarde de ces yeux féroces. Mes seins durcissent et une liqueur inavouable sourde à la commissure de mes lèvres. Un serpent immonde a pris possession de mon cœur et de mes sens.
    
    Ma jeune servante est revenue. Ce soir là, elle s'est divinement occupée de sa maîtresse. Pourtant, ma tête était restée près de l'animal et une fois la fille partie, je suis allée lui montrer mon corps encore luisant de sueur et de plaisirs. Ce soir là, j'ai même risqué un pas vers lui. Lui d'ordinaire si farouche, me laissa m'approcher. Mes yeux ne fixe plus qu'une parti bien précise en lui : son phallus puissant et monstrueux.
    
    La nuit suivante, je me suis encore un peu plus approché. Je l'ai touché. Alors que ma main parcourait son échine, mon corps tremblait sous un plaisir immense. Son cuir était aussi humide que mon corps.
    
    Tous les soirs, je vais le caresser. Je jouis sans qu'il y ait un seul contact entre nous. Il me regarde, surpris, alors que je suis allongée nue dans l'herbe, récupérant mes esprits. Je ne quitte pas son puissant membre des yeux.
    
    Doucement, je me suis rapprochée de l'objet de mes désirs. J'ai pus le toucher et sentir la puissance. Je ne pourrais jamais le recevoir en moi et pourtant cela m'obsède de plus en plus.
    
    J'ai finis par en parler avec ma servante. Elle me prend pour une folle et pourtant elle ne m'a pas dénoncé auprès de ...
    ... mon époux.
    
    Mes pulsions l'emportèrent sur ma raison. Je fis appeler Dédale, le fidèle architecte du Roi et lui demandais de fabriquer une génisse en bois, creuse, afin d'observer un troupeau de vaches sans être vu. Il n'a pas tiqué lorsque je lui ai demandé de pratiquer un trou à l'arrière de la génisse en bois afin de pouvoir recueillir un peu de sperme de taureau pour études.
    
    Il fit un travail remarquable, enveloppant même l'animal d'une peau de génisse fraîchement abattu.
    
    Je fis porter l'objet sur la colline, non loin du taureau qui hante mes sens. Une fois que tout le monde fut parti, je retirais ma toge et m'installais nue dans la génisse en bois. Mon désir était incontrôlable.
    
    J'attends. Mon cœur bat violement. Je tremble. Je suis secouée de frissons violents. J'ai pris soins de oindre ma vulve de pommade afin de faciliter mon intromission bestiale. Je ne peux quitter la génisse. Je sens que mes jambes ne pourraient me porter.
    
    Un désir fou se mêle à ma terreur tout aussi folle. Je tremble, clouée dans cette position indécente... Mes fesses sont plaquées près du trou. Ma vulve est humide de désir.
    
    Tout à coup, j'entends les pas pesants de la bête sauvage. Elle monte la colline. Son halètement me glace le sang. Un désir obscène, à la mesure de ma terreur, croît en moi.
    
    Je sens son souffle à travers le trou. Je ne peux plus m'enfuir. J'entends le raclement de ses puissants sabots sur la croupe de bois de la génisse. Je sens son puissant pieu de chair ...