COLLECTION JEUNE – VIEUX. Maîtresse de jumeaux pour mes 50 ans (1/1)
Datte: 23/02/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... s’asseoir à mon côté.
Chez moi quand je suis seule, j’aime être nue, quand Émilie est là je passe cette robe.
Elle vient de partir je suis sans aucun sous-vêtement.
• Frérot regarde, elle rougit mais reste stoïque, je crois qu’elle a compris que nous étions là pour elle.
Luce écarte tes cuisses.
• Tu vas trop vite frangin, tu sais que mon plaisir c'est leur poitrine, regarde sa robe me fait voir sa vallée profonde, je vais me régaler.
Une main s’avance entrant dans mon décolleté, comme je l’ai dit j’aime être nue et cette robe les mets en valeur.
Je devrais crier au viol, mais les jumeaux font sa si simplement que je perds pied.
• Elle se balade les seins nus, regardent-les, de vrais pamplemousses, je regarderais ces fruits d’un autre œil la prochaine fois au marché.
Il me caresse le sein et moi, j’apprécie.
Je devrais dire que je me rebelle, mais j’apprécie.
Christian mes seins ça devait être pour faire joli quand il me sortait ce qui était rare alors que lui allait au stade tous les dimanches supporter notre équipe de foot.
J’ai su depuis que la salope avec laquelle il est maintenant, tenait la buvette.
Elle a fini par lui tenir la queue.
Le sein qu’il me caresse commence à réagir, j’ai de grosses fraises en leur bout et celle qu’il caresse bande.
Sa main progresse vers l’autre, le temps qu’elle l’atteigne j’ai un sentiment d’abandon vite éteint car il lui fait subir le même traitement.
• Luce dit nous, on a bien fait de ...
... venir, reconnais que nous te faisons un joli cadeau !
• Oui !
J’ai bien entendu ma bouche à dire « oui » avec des trémolos.
Il me demande de m’abandonner et je le fais.
• Écarte tes cuisses, ma belle, je veux voir ta chatte.
Toute seule, sans que mon cerveau commande quoi que ce soit, mes jambes s’écartent, je m’offre comme une salope saurait le faire.
Serais-ce possible que la queue de celui qui m’a abandonné me manque autant que ça !
Dans un léger brouillard, je vois le deuxième frère se lever s’asseoir de l’autre côté lui aussi et passer ma main sous ma jupe.
Comme j’étais assise et le mouvement de mes jambes la fait remonter plus que de façon raisonnable.
• J’avais bien vu, elle nous attendait, elle ruisselle, elle va être obligée de nettoyer son canapé.
Pourquoi n’ajoute-t-il pas « avant que sa fille ne revienne » ?
Son évocation m’aurait aidé à reprendre la situation en main, mais présentement j’aime qu’elle dégénère.
Mes seins sont abandonnés, un jean est ouvert, lui aussi est sans protection, la bite que j’ai devant mes yeux de plus en plus troubles est bien réelle, aucun mouchoir pour la gonfler.
Si je compare avec celle de Christian, aussi épaisse et plus longue.
• Suce-le !
• Je n’ai jamais sucé !
• Et voilà, on y arrive, toute une éducation à refaire, crois-tu que Sybile t’as enlevé ton mec, dans le village tout un chacun savait que le volet de la buvette rabaissé elle lui faisait de magnifiques sucettes.
• Dit-lui ...