1. Vacances Coquines (2)


    Datte: 23/02/2019, Catégories: Gay Auteur: LzgnTexte, Source: Xstory

    Durant les jours suivants, je ne revis plus Jean dans le camping. J’essayais en vain de le retrouver, traînant sur la plage plus que de raison ou en revenant sur notre lieu de rencontre, sans succès. A mon grand désespoir, je me fis une raison, me disant que mes vacances allaient finalement se terminer dans le plus grand des calmes. Un peu déçu, j’erre sur le bord de la plage, sans aucun but précis. C’était une journée particulièrement chaude si bien que la plupart des résidents du camping préféraient rester au frais sous leur parasol ou dans leurs chalets climatisés. Je croise une famille courageuse qui profite du soleil et de l’eau fraiche. Je m’éloigne pour trouver un peu d’intimité. Je me retrouve finalement dans le même bois où Jean et moi avions eu notre petite aventure. Je repère facilement notre coin tapissé de mousse, non loin du rivage, mais tout de même dissimulé des curieux par des buissons.
    
    Je m’allonge sur le sol chaud et je repense à cette merveilleuse nuit, si bien que je sens mon paquet gonfler dans mon maillot.
    
    Je me caresse le torse du bout des doigts, imaginant que c’est Jean qui prend soin de moi. Ma main redescend peu à peu vers mon maillot. Je me palpe les couilles, les masse si bien que mon pénis est tendu au maximum. Je retire mon maillot ; peu de chances que quelqu’un me surprenne ici. Je prends ma verge à pleine main et je commence à la masturber, tendrement, de manière sensuelle. Je laisse échapper quelques grognements et gémissements de ...
    ... satisfaction. J’accélère le mouvement, me remémorant la sodomie passionnée de Jean. Je m’arrête tout net, juste avant de jouir. J’ai envie de faire durer le plaisir. Je laisse retomber mon pénis et j’écarte les cuisses. Je me masse doucement la prostate, puis je fais rentrer un doigt dans mon anus palpitant. Je le fais coulisser en moi, dans mon petit cul tout chaud. C’est bon, mais je n’arrive pas à reproduire les mêmes sensations que celles que Jean m’avait fait ressentir. Soudain, j’entends des bruits de mouvement tout près de moi.
    
    A la hâte, un peu paniqué, je remets mon maillot et je me redresse d’un bond.
    
    C’est l’un des membres de la famille que j’avais croisé à l’instant, sûrement le grand-père des enfants, il doit avoir plus de 70 ans. Je lui dis un timide bonjour qu’il me rend avec un sourire en coin. Je ne sais pas ce qu’il avait vu, ce qui me mettait dans l’embarras le plus total, surtout que mon pénis n’a pas fini de débander. Il continue son chemin, seul. Je reprends mon souffle, un peu chamboulé, je reste sur place sans bouger. Je sors mon téléphone pour vérifier mes notifications, quand soudain, je sens une main me palper les fesses. Abasourdi, je reste figé. Le grand-père avait fait demi-tour et se trouvait à présent dans mon dos. Il retire sa main de mon fessier pour la poser sur mon paquet.
    
    — Mmh c’est ça que tu veux ? me dit-il en se collant à mon dos.
    
    Je ne sais pas quoi lui dire, mon cerveau ne semble plus répondre, je suis totalement déboussolé. ...
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