Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
fhh,
hbi,
alliance,
hépilé,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
hféminisé,
Masturbation
rasage,
Oral
fist,
hdanus,
hgode,
hsodo,
sm,
attache,
fouetfesse,
Gay
hsoumisaf,
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... de maquillage, Marie m’autorise à me regarder dans la glace.
Je suis stupéfait de ma transformation : mon visage est devenu celui d’une belle jeune femme très sensuelle. Le fard à paupières tout comme le mascara me donne un regard envoûtant et mystérieux. Le gloss d’un rouge pourpre donne à mes lèvres un goût irrésistible de fruit défendu. Je suis là, devant ce miroir à admirer son travail. Mes cheveux courts avec mon maquillage me font étrangement penser à Liza Minnelli, un regard intense avec ses grands yeux et un visage à la fois pétillant mais aussi mystérieux. Je suis ravi de mon apparence. Marie m’observe du coin de l’œil, satisfaite de son boulot et contente de me voir ému à ce point.
— Alors ? Ça te plait, ma belle ? T’es canon ! Je dirais même que t’es bandante. Si, avec ça, personne pour baiser, moi j’accours… Putain, ma salope, tu me fais déjà mouiller ! Bon, ce n’est pas tout. Allez, debout ! Ne perds pas ton plug, chérie. Voyons, voyons… Je sais. Attends-moi là.
Marie quitte la pièce pendant quelques minutes pour revenir avec un paquet de fringues. Toujours de dos, je ne peux voir ce qu’elle manigance. Je la sens se mettre à genoux derrière moi ; elle me demande de lever une jambe, ce que je fais sans attendre. Un contact doux et soyeux glisse sur mon mollet puis sur ma cuisse. Je baisse la tête pour me rendre compte qu’elle m’enfile un bas de soie noire jusqu’en haut de la cuisse. Elle me présente une paire de talons aiguilles et me chausse le premier ...
... pied.
— Mon petit pédé, t’es hyper bandante. L’autre jambe.
J’obéis en levant l’autre jambe afin qu’elle m’enfile le second bas et la deuxième chaussure. Puis elle se relève et me ceinture la taille d’un délicieux porte-jarretelles en dentelle noire. Elle accroche les bas au porte-jarretelles en flattant mon sexe toujours en érection.
— J’en connais un qui va se régaler… Tu vas voir, ma belle, comment tu vas lui plaire. Le haut, à présent. Tourne-toi.
Toujours docile à ma maîtresse, je m’exécute sans broncher, ravi d’être sa chose. La salope me passe une guêpière en dentelle noire avec de nombreux lacets rouges. Avec mes bas et cette guêpière, j’ai un aspect très coquin, surtout avec ma queue toujours en érection.
— Prends ta respiration, ma belle ; tu vas avoir un corps de guêpe. Je vais te serrer la taille comme les catins des bordels d’autrefois. Tu vas voir, ça va faire ressortir ta croupe, et tu auras l’impression d’avoir une bonne paire de nichons. Allez, je serre.
La salope tire tellement fort sur les ficelles que j’ai l’impression de me comprimer de l’intérieur. Je sens effectivement mon cul se cambrer ; quant à mon buste, faut pas rêver, mes seins ne gonflent pas, mais sous la pression du carcan, je sens bien qu’ils ne demandent qu’à s’en échapper. Je ne peux qu’admirer mon décolleté provocateur. Je suis très excité par ce spectacle. Marie le sait bien car elle n’arrête pas de me caresser les fesses.
— La vache, tu me fais mouiller grave. Comme ...