Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine - Histoires de Sexe

Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine

... deux mains, il branlait cette bite comme pour lui vider complètement les couilles. À son tour, je le sentais prêt à exploser, et sans cesser ma masturbation, il gicla tout son jus sur ma main. Le pompé s’était déjà rhabillé ; puis, claquant une bise à son bienfaiteur, il retourna tranquillement au bar. Je caressais les fesses du jeunot en badigeonnant sa raie de son propre foutre. Le salaud était aux anges. Il me remercia timidement, presque honteusement, et comme son amant il se rhabilla pour non pas rejoindre le bar, mais plutôt pour fuir l’établissement en toute discrétion. Ah, les hétéros, que de bons souvenirs !

Alors, cette soirée à trois avec un hétéro qui m’excite et Marie qui, comme je le pense, ne doit pas être la dernière à vouloir explorer de nouveaux horizons… Je devais mettre au point une stratégie afin de déclencher une réaction en chaîne pour arriver à un plan cul.

18 heures ; fin du boulot. Le temps de passer à la maison pour me préparer, c’est à dire une bonne douche, changer de fringues. J’ai gravé un CD de musique avec une compil’ de vieux tubes des années 60. Ils sont l’un comme l’autre incollables sur ce sujet : mon plan devrait fonctionner à merveille. Je passe chez le caviste du coin choisir une bonne bouteille. Connaissant leurs goûts en matière d’alcool, j’opte pour un vieux whisky de quinze ans d’âge.

19 heures et quelques, me voilà devant chez eux. Je me gare devant le portail. Je rentre dans la cour sans prendre la peine de sonner, et ...

... c’est Luc qui, ayant reconnu le bruit de la voiture, m’accueille devant la porte d’entrée.

— Salut mon petit pédé de beau-frère, me dit-il, en me claquant la bise. Viens que je t’introduise.
— Hum… si seulement c’était vrai !

Le salaud ne manque jamais d’humour ; s’il savait comme j’en rêve, qu’il m’introduise…« Toi, tu ne perds rien pour attendre ! » je me dis. Puis, plaçant sa main sur son entrejambe et se caressant la bite, il m’allume davantage :

— Ah, tu voudrais bien y goûter, à ma queue… Allez, entre, Marie est dans la cuisine.

Je passe devant lui et il en profite pour me mettre une main au cul comme pour jouer à me provoquer.

— Allez, princesse…

Je me cambre comme une invite, lui tendant la bouteille et le CD en ironisant :

— Oh oui, encore… Et arrête de dire « Fontaine, je ne boirai pas de ton eau. » Entre nous, tu ne sais pas ce que tu rates. Tiens, une bonne bouteille pour te saouler la tronche et abuser de moi et un peu de zique pour un quiz.

J’arrive dans la cuisine. Marie, de dos, est devant ses fourneaux, et mille-et-une saveurs d’épices remplissent la pièce. Vêtue d’un short – disons plutôt des restes d’un short – déchiré de partout mais hyper sexy, découvrant la moitié de ses fesses, et d’un tablier, je présume, car cela me permet d’admirer son dos dénudé et bronzé. M’entendant arriver, elle se retourne de trois-quarts, mettant en valeur sa chute de reins ; elle m’adresse un clin d’œil, puis se dirige vers moi pour m’embrasser.

— Dis ...