1. Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine


    Datte: 22/02/2019, Catégories: fhh, hbi, alliance, hépilé, hsoumis, fdomine, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Masturbation rasage, Oral fist, hdanus, hgode, hsodo, sm, attache, fouetfesse, Gay hsoumisaf, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... exploration et caresse mes fesses brûlantes encore rougies par la fessée. Marie lui tend la laisse où lecockring emprisonne mon sexe et mes couilles ; il s’en saisit et me tire lentement vers lui. Moi debout, lui assis, ma bite arrive à quelques centimètres de son visage.
    
    Il se remet dans le fond du canapé et invite Marie à s’empaler sur sa queue.
    
    — Viens, ma chérie, viens te faire mettre : je veux qu’il nous regarde baiser. Tourne-moi le dos et viens sur ma bite.
    
    Sans se faire prier, la salope chevauche Luc, tous les deux face à moi. Luc écarte bien ses cuisses, obligeant Marie à écarter elle aussi les jambes. Je suis aux premières loges, et je contemple son membre. Son gland garni de son prince Albert pénètre doucement dans la chatte de Marie qui est excitée comme jamais. Sa colonne de chair disparaît à chaque assaut pour ressortir luisante de mouille. Elle lèche la paume de sa main pour humidifier sa vulve. Je ne sais pas si elle mouille sa fente ou bien si elle se régale de son jus ; la pute ne me quitte pas des yeux. Je suis debout, le sexe tendu et les mains attachées dans le dos, selon leur plaisir. Pendant qu’elle se fait pilonner la chatte, elle invite son amant à lui prendre les seins et faire rouler les pointes. Le salaud ne doit pas y aller de main morte car Marie laisse échapper un cri sous la douleur, mais des râles de plaisir prennent le dessus.
    
    — Regarde, mon petit pédé, regarde cette queue qui me démonte la chatte. Tu la voudrais bien, hein ? ...
    ... Approche ta bouche près de ma chatte, viens sentir se parfum de sexe. Approche ta langue et lèche-moi doucement.
    
    Elle sait qu’en lui bouffant le minou je passerai ma langue sur la tige de son amant, et je peux enfin goûter cette bite tant désirée. Quelle récompense ! Je me mets à genoux entre leurs cuisses écartées et je pointe ma langue sur sa vulve et ce membre qui la fouraille. Je bois la mouille de Marie qui coule le long de cette colonne de chair ; ma langue descend jusqu’aux couilles de Luc. Je m’enivre de son odeur de mâle en rut, je gobe ses burnes l’une après l’autre, jouant avec. Je sens qu’il accélère la cadence, soulevant Marie par les hanches et la lâchant aussitôt pour l’empaler plus profondément. Marie, sentant la jouissance de son mâle arriver, attrape sa bite et me la donne à pomper. J’engloutis entièrement son sexe et je m’applique à recevoir sa semence.
    
    Les mains toujours liées derrière le dos, j’avale giclée après giclée ce délicieux nectar. Je sens sa semence couler le long de son prince Albert. Ma langue récupère tout. Je pompe, j’avale, je m’en délecte. J’ai trop envie de jouir à mon tour ; je me redresse, et debout, la bite tendue, j’éjacule sur son sexe, je me frotte contre lui. Je bande comme un âne. Je me remets à genoux et je le suce à nouveau afin de le nettoyer de son foutre mélangé au mien ; un vrai délice. Marie n’arrête pas de se masturber devant ce spectacle que nous lui offrons. Marc, de ses deux mains, me prend la tête et m’oblige à lui ...