Mauricette aime la quéquette 2 (1)
Datte: 21/02/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory
... Son vagin bâillait à présent comme une bouche. Je n’avais pas pu résister au désir de glisser deux doigts à l’intérieur de sa chatte. Bien au fond, en les repliant. Un spasme lui avait soulevé le ventre. Après avoir longuement voyagé dans ses entrailles, je les retirais tout gluants. Comme si je les avais trempés dans un pot de miel. Je n’avais pas pu m’empêcher de les porter à ma bouche pour les sucer. Comme je l‘aurais fait avec un bonbon. L’odeur de marée qui s’en dégageait me saoulait un peu plus les sens.
— Tu es vraiment un grand dégoûtant Alain.
— À défaut d’autre chose... répliquais-je.
— Tu désires quoi ?
— Que tu te doigtes le cul...
— Tu es vraiment... vraiment un sacré cochon. Bon c’est bien parce que c’est toi... fit-elle en glissant sa main entre ses fesses en sueur.
Poussant à l’intérieur du ventre pour faire ressortir son anus. Les chairs tièdes s’étaient épanouies pour laisser le passage à l’index.
Enveloppant le bout du doigt. Je m’étais penché pour le voir disparaître dans son anus.
— Bon Dieu, j’ai une de ces triques. Lui confessais-je, avant de lui laper sa touffe de poils toute ruisselante de mouille. Puis allant titiller son clitoris. Avant de plonger mon nez dans son vagin. M’enivrant de son arôme, alors que ma langue léchait l’index de Mauricette qui entrait en sortait de l’anus.
Je pinçais ses lèvres. Les aspirais dans ma bouche pour les suçoter. Le calme, le silence qui nous entouraient étaient remplis de ses ...
... gémissements de plaisir. Inquiet à l’idée qu’on pouvait nous entendre,
— Enfonce-le bien au fond du trou. Oui, comme ça... fais-le aller et venir.
— Le parfum du cul, c’est celui que je préfère, fis-je en attrapant son poignet et en le tirant en arrière, faisant ressortir le doigt. Que j’avais avancé au-devant de mon nez. Une odeur forte s’en dégageait. Un goût poivré.
— Tu es vraiment un grand malade... Alain... baise-moi maintenant je ne tiens plus...
Je me plaçais entre ses jambes. Puis pointa ma verge tendue vers l’orifice recouvert de mouille, et elle glissa sans effort. J’étais resté longtemps, immobile, en elle. Puis avec des mouvements souples, ma queue avait eu le bonheur de voyager dans le conduit moelleux. A chacune des pénétrations, j’éprouvais le même émerveillement. Le même bonheur absolu. Mauricette me murmura à l’oreille :
— Tu bandes encore comme un taureau, mon cochon !
Pour toute réponse je lui mordis le téton.
- Oui, c’est ça, Alain, mords-moi les tétons... suce-les, ça me rend folle conjuguais à une bonne baise ! J’aspirai les pointes de ses seins. Les mordillai jusqu’à ce qu’ils deviennent congestionnés. Mauricette reprit, haletante :
— Putain ! Que c’est bon...
Encore quelques allers et retours puis je sortais mon sexe de son fourreau douillet. Je la fis basculer en arrière sur son fauteuil. Ecartant d’autorité ses cuisses avec mes mains, je lui plantai ma queue à l’entrée de l’anus. Ruisselante, Mauricette captant parfaitement mon ...