COLLECTION LESBIENNES. L’enquête (2/2)
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je suis jeune journaliste dans un quotidien parisien, je vis avec Jésus chroniqueur sportif au plus grand journal sportif de France, je l’ai connue lors de ma formation, en plus de mon futur métier, il m’a formé à devenir une jeune femme aimante.
Je peux dire qu’avec lui ma vie sexuelle est entière, il veut, je veux, nous voulons et nous faisons, à aucun moment l’un de nous prend le pas sur l’autre.
Certes, souvent il propose et je le suis, sinon comment aurais-je appris à me faire prendre en levrette, terme qu’il m’a expliqué.
J’avais entendu parler de fellation, c’est moi qui lui ai demandé, mais, c’est lui qui m’a montré, si je me retourne sur notre vie, je me rends compte que j’ai été son jouet.
Alors quand le ventre de Mélodie vient en contact du mien me chamboulant de l’intérieur, je comprends qu’entre deux femmes des choses pouvais se faire.
Nous nous sommes pris la bouche d’un commun accord et j’ai su que j’avais envie d’elle.
- On va chez toi, on va chez moi !
Chez moi, tu as vu ma mère est partie avec la grande rousse, ça faisait longtemps que cette salope voulait se la faire, mais elle savait qu’avec cette grande pute, la souffrance était de mise, elle aime le sadisme.
Maman est seule comme moi depuis que sa copine est partie avec une autre dans le Bordelais.
Elle a picoré un temps, dès le départ, la rousse lui avait proposé de devenir son amie, elle savait ce que cela voulait dire.
Tu as vu ce soir, elle a craqué, j’ignore si elles ...
... sont parties chez nous ou chez l’autre salope, comprends que je veux éviter de me trouver en tête à tête avec elle demain matin.
L’avenir me dira chez qui elle compte s’installer, si sait chez elle, je récupérerais ma chambre.
Chez toi ?
- Je dois t’avouer une chose que je t’ai cachée, je vis avec un garçon, jusqu’à ce jour.
Je n’ai connu que cet homme, j’étais persuadée être comblée sexuellement, quand nos deux bassins sont venus en contact, j’ai senti que quelque chose me manquait et sans aucune hésitation, nous nous sommes embrassés.
Nous nous séparons et revenons à notre table, le charme semblait être rompu.
- Tu es une putain de suceuse de bite, je comprends pourquoi tu as employé le mot gouine, pour vous, les filles aimant les filles sont des filles perverties.
J’ai connu cela avec mon père, quand il a su que maman comme moi aimaient les filles, il a essayé de me faire connaître des garçons, maman m’a aidé à résister.
C’est à ce moment qu’elle s’est mise avec Judith qui l’a trahie, pour partir à Bordeaux.
Hier, maman en rentrant m’a dit qu’elle avait rencontré une jeune femme qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à la femme que je lui décris depuis des mois, je t’avais vu dans un rêve.
Me disant cela, elle me prend la main que j’avais posée sur la table après avoir bu un coup, me rassurant sur ses intentions, le lien est loin d’être coupé.
- Quand je t’ai vu, mon cœur a fait un bon, j’ai immédiatement su que tu étais mon élue, dis-moi ...