1. Le hangar 2


    Datte: 20/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    La nuit est totale et pénible. Les liens d’Annie sont serrés sur ses poignets et lui font mal. Son premier réflexe est de les rendre plus lâche autour de ses mains, à force de contorsions et de volonté, Annie parvient à rendre ses liens plus supportables, mais elle n’arrive pas à s’en défaire, la méchante corde de chanvre, quoique usée est quand même solide et la retient à travers le barreau du lit. De toute façon elle n’y voit pas suffisamment pour tenter quelque chose pour sa délivrance. Annie a froid nue sur son bas flanc qui sent le chien mouillé, elle frissonne à l’idée de tout ces corps qui se sont succédés sur la couche. De ses pieds libres, elle explore le lit et fini par entrer en contact avec une couverture rugueuse que ses ravisseurs ont laissé là . Elle la ramène à elle et tant bien que mal elle essaie de trouver un peu de chaleur dans le tissus rèche et usé de la couverture.
    
    Pas question de dormir dans ces conditions pénibles et si chargées de menaces pour le lendemain. Annie a tout le temps de réfléchir à sa situation. Ses fesses lui font mal, une douleur lancinante qui se rappelle à elle chaque fois qu’elle contracte son sphincter. Elle a peur du lendemain, que vont ils faire, mettre en application leur menace ? la livrer à tout un tas d’ouvriers immigrés, des hommes qui n’ont pas vu une femme depuis des mois et des mois ? Des hommes qui auront envie de reprendre leur revanche sur la race qui les asservi ? Des hommes réputés pour la grosseur de leur sexe, ...
    ... peut être pour une certaine sauvagerie ? Annie frissonna sur sa couche, elle sombrait dans le désespoir et elle se mit à pleurer doucement dans le noir en implorant sa maman. Tout en pleurant, il lui venait une envie pressante, cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas fait ses besoins. Elle fut paniquée tout à coup, comment faire ? allait elle faire sous elle ? Annie était désemparée et se mit à pleurer pour de bon.
    
    Ces pleurs ne résolvaient rien et bientôt l’envie fut trop pressante, il lui fallait trouver une solution, vite !
    
    Annie s’arrêta de pleurer, une idée venait de germer en sa tête, un espoir, une lueur. Elle allait pisser sur le lit, le rendre impropre à tout usage, ainsi demain elle gagnerait du temps. Elle s’éloigna comme elle put de l’endroit où elle s’était recroquevillée et le corps tendu aussi loin que possible, les cuisses bien écartées, se soulagea sur la paillasse, puis elle revint dans son coin, évitant ainsi la partie mouillée du bas flanc.
    
    Elle fut satisfaite du tour qu’elle venait de jouer à ses tortionnaires, imaginant leur tête demain quand ils viendraient pour la tourmenter.
    
    Cependant l’inquiétude revenait en elle tant son désespoir était grand. Il lui semblait que cette nuit serait sa dernière, elle pensa à Alain qui devait souffrir mille morts à n’avoir aucune nouvelle de sa femme, elle envisageait son inquiétude, son angoisse et son tourment.
    
    Annie se désespérait dans le noir et c’est à peine si elle aperçut le petit matin qui ...
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