1. 3 ans de pénitence - 11


    Datte: 20/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mia-michael, Source: Hds

    ... Elles sont quasiment identiques : jolies, blondes aux longs cheveux, des yeux bleus et des gros seins qu'on aperçoit clairement parce que leurs chemisiers sont ouverts.
    
    Elles se lèvent et vont à tour de rôle embrasser l'Évêque sur la bouche. Il leur dit :
    
    — C'est d'accord pour ce que vous voulez, mes enfants. À condition que vous vous fassiez des câlins.
    
    Elles l'embrassent encore et le remercient. Je me demande bien ce qu'elles ont obtenu... Leur liberté ? De l'argent ? Sans doute les deux.
    
    L'Évêque se déshabille sans complexe. Il devrait pourtant en avoir, car il est gras et rose avec des poils blonds. Un vrai porc, sans doute descendant de l'Évêque Cauchon de sinistre mémoire. Il s'installe sur un divanà la romaine, sauf qu'il écarte les cuisses et exhibe un petit sexe mou et grisâtre et des grosses couilles. Le genre de parties dont même une hyène affamée ne voudrait pas. Sa compagne, la soi-disant nonne Juliette, se déshabille aussi. Elle est un peu trop forte, ses seins tombent et sous ventre rond, il y a une touffe de poils noirs qui couvre son pubis. Le contraste ente la couleur de ses cheveux très blonds et les poils de sa chatte, presque noirs, est saisissant.
    
    Henri m'entraîne sur un divan. Je suis obligée de me coucher contre ce bredin, lui derrière, moi devant. Il plonge sa main dans mon chemisier pour jouer avec mes seins.
    
    Les jumelles vont se mettre devant l'Évêque. Leur ressemblance est telle qu'on a beaucoup de mal à les distinguer, sauf que ...
    ... l'une d'elles est légèrement plus grande que l'autre. Elles commencent par faire une bataille de langues, donc celle de l'une tourne autour de celle de l'autre. C'est un peu dégoûtant et excitant à la fois. Ça se termine par un vrai baiser. Je sens qu'Henri bande contre mes fesses. Les sœurs se déshabillent : chemisiers, soutien-gorge, jupe, culotte, chaussette, chaussures. Chaque fois qu'elles enlèvent un vêtement, elles embrassent ce qu'elles viennent de découvrir: seins et aisselles, ventre et pubis, fesses et cuisses et même les pieds. Je suis persuadée que c'est sincère, impossible d'avoir l'air d'y prendre autant de plaisir si c'était de la comédie. Elles jettent toutes deux leurs culottes à l'Évêque qui les renifle aussitôt. Une fois nues, elles se mettent à onduler sur la musique orientale. Elles font une espèce de danse du ventre mais en se touchant : seins contre seins, fesses contre fesses.
    
    L'Évêque caresse négligemment la chatte de sa compagne. Son sexe augmente légèrement de taille, sans doute sous l'effet des culottes. Il avait un sexe de la taille d'un enfant de 8 ans, maintenant la chose doit bien faire dans les 12 ans.
    
    Les sœurs se sont allongées et se lèchent l'une l'autre. Les seins, la chatte et l'anus, chaque fois en changeant déposition de façon à ce qu'on les voie bien.
    
    Elles sont douées, très douées, de vraies artistes. Elles terminent par un69, la spécialité du couvent, dirait-on. Quand elles ont joui toutes les deux, elles se mettent debout ...