1. Compagne de plus en plus exigeante


    Datte: 19/02/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: Dede des alpes, Source: Hds

    ... bouches que beaucoup malicieusement gardaient largement ouvertes. Je ne me suis pas privé moi-même d’aspirer quelques tètons, de titiller de la langue quelques clitoris dressés et même d’introduire cette langue dans des moules accueillantes. J’ai bien entendu fait durer cette reptation sensuelle le plus longtemps possibles au grand plaisir de ces dames.
    
    C’est Véronique qui lors d’une séance de thé a réclamé un peu de crème. N’en ayant pas ma compagne a aussitôt proposé que celle-ci utilise en remplacement mon sperme et me fasse éjaculer dans sa tasse. Proposition bien évidemment acceptée à l’unisson. Toutes se sont rapprochées pour me voir à quatre pattes malaxé par des mains expertes afin que je crache ma semence dans la tasse disposée au sol. Comme à leurs demandes mon sperme ne venait pas assez vite l’une a agité en va et vient dans mon cul le manche de la queue de cheval, l’autre me malaxant les couilles pendant que la troisième me branlait vigoureusement. Sous les hourras enfin le dessert attendu a fusé, il a même failli manquer la tasse placée trop près de mon méat. La dose importante fut partagée entre plusieurs amatrices. Véronique pour ne rien laisser perdre n’a pas hésité à aspirer les dernières gouttes qui suintaient de mon organe.
    
    Marie elle, a apporté un anneau de cuivre assez large mais de faible diamètre. Elles ont du s’y mettre à plusieurs tirant sur ma queue et mes couilles pour y passer mon sexe et amener ce bracelet tout contre mon pubis. Toutes ...
    ... contentes elles ont pu admirer mon matériel qui même flasque était projeté en avant!
    
    Lors de la réunion suivante Véronique a proposé ce qu’elle a appelé « l’après-midi Nounous ». Assises sur des chaises les unes à côté des autres, moi évidemment nu, mais sans ma queue de cheval, allongé sur leurs cuisses le plus souvent largement découvertes je devais pendant environ trois minutes téter chacune de leurs mamelles. Pendant que quelques mains s’occupaient à soupeser mes bourses, tirer sur mon pénis ou titiller mon anus j’ai pu apprécier les différentes tailles, formes de pis, différentes grosseurs ou longueurs des mamelons de ces dames qui s’érigeaient sous mes lèvres. Dois-je dire que j’ai vraiment apprécié cet exercice autant je le suppose que mes nounous improvisées dont les exclamations et le babillage trahissaient l’excitation ? Pour moi le plus agréable fut lorsqu’en fin de chaine j’ai saisi entre mes lèvres le téton de l’un des volumineux seins de Marie de sentir couler un délicieux nectar, légèrement sucré. Ma succion fit venir une abondante lactation que j’ai eue de la difficulté à avaler, qui débordait de mes lèvres. Marie expliqua qu’elle venait à peine de sevrer son dernier-né et que son lait n’était donc pas encore tari ce qui expliquai l’abondance du liquide nourricier coulant de ses mamelles encore très gonflées. Une aubaine pour moi qui me suis régalé de ce nectar. Mais je n’ai pu profiter de la totalité de sa production, Véronique, Simone chacune accrochée à une ...
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