1. Abusée Ch. 12


    Datte: 19/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... concierge noir de l'école depuis plus de 30 ans. Grand, dégingandé et gentil, c'était une figure de l'école. Il était connu et aimé par tout le monde. Il portait toujours le même pantalon de travail vert foncé, une chemise et une casquette de base-ball assortie. Il avait toujours un doux sourire pour chaque enseignant et était toujours prêt à abandonner son travail pour vous aider.
    
    Cette salope de Marianne avait appelé Clem dans la salle de réunion afin qu'il puisse être témoin de ma honte. Elle voulait qu'il me vît tout nu, du sperme dégoulinant de mes deux trous et puant l'odeur de la pisse. Il saurait maintenant que derrière son sourire Mme BONHAM, montée sur ses talons, est une vraie salope et une pute.
    
    Mon visage a dû tourner au rouge vif. Je pouvais encore sentir la poigne de Glen sur ma queue de cheval. Il serrait fort comme pour me prévenir de ne pas bouger, que ce n'était pas encore terminé, que ma honte ne faisait que commencer.
    
    Je voulais ramper dans un trou et mourir. Pourtant, inexplicablement, au milieu de ma honte et de mon humiliation, j'étais excitée. J'étais prête pour plus. Si l'équipe de basket-ball était entrée dans la salle, j'aurais roulé sur moi-même et j'aurais écarté les jambes pour les inviter à tous me baiser là. J'étais devenue une salope insatiable, je ne pouvais plus le nier. La prude Jessica BONHAM du passé avait disparu et une femme vorace, insatiable, assoiffée de sexe avait pris sa place.
    
    Dans un état de stupeur, je regardai ...
    ... Marianne SMOLEN descendre de la table et se pavaner à moitié nue dans la pièce. Elle saisit sa jupe en laine et commença à la mettre. Puis elle remit rapidement son caraco et elle jeta sa veste sur ses épaules. En quelques secondes, elle passa d'une salope pisseuse à moitié nue à une vice-principale pudique. Alors que moi, je gisais comme une cochonne, coincée sur le dessus de la table de réunion, puante de pisse et avec deux bites qui débandaient dans chacun de mes trous.
    
    J'arrêtai de me plaindre et je me résignai à mon sort. Le sexe, la honte, l'humiliation étaient devenus comme une drogue pour moi. J'entendis la porte s'ouvrir et le grincement d'un seau métallique qui entrait dans la salle.
    
    - Oh, tsssss, tssss, qu'est ce qui se passe Miss Marianne. Oh, les gens ont fait du beau gâchis dans cette pièce. Quoi? Qu'est-ce que je vois? C'est bien vous Miss Jessie? Oh mon Dieu, pauvre petite fille!
    
    J'étais tellement mortifiée que j'aurais voulu mourir. Je voulais devenir plus petite qu'une fourmi et m'échapper. Clem roula son seau jusqu'au bord de la table de la salle de réunion. Ses yeux étaient injectés de sang et ses vêtements étaient sales et sentaient la sueur. Il me regarda attentivement tout en se penchant sur son balai. Il plissa le nez devant l'odeur évidente d'urine et de sperme. Sa casquette verte était un peu de guingois alors il l'attrapa et gratta sa tête chauve.
    
    Glen se leva. Quand sa queue quitta mon trou du cul, il y eut un « plop » et une rivière de ...
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