1. Abusée Ch. 12


    Datte: 19/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... jouissance. Je regardai le beau visage de PRUIT. Ses yeux étaient ouverts très larges. Dedans j'y vis l'envie d'éjaculer en moi. Je sentis Glen saisir ma queue de cheval et il me monta comme un cavalier de rodéo, enfonçant sa bite au plus profond de moi en grognant comme un animal.
    
    Mon orgasme montait encore et encore. Je pouvais le sentir dans toutes les parties de mon corps, mes orteils, mes mamelons mes mollets, mon ventre. J'essayai de m'empaler encore plus sur les deux queues qui me baisaient. Inconsciente de tout ce qui pouvait se passer à l'extérieur, la seule chose qui comptait pour moi c'était mon orgasme. C'était comme si je galopais sur un destrier qui me propulsait vers un orgasme hors de ma portée.
    
    Malgré l'emprise de Glen sur ma queue de cheval, je baissai mon menton vers le bas et je fixai PRUIT. J'espérai que la vue de ce beau gosse me baisant, déclencherai mon orgasme. J'avais l'impression d'avoir une ligne électrifiée qui reliait mes deux tétons. Mes orteils se tordaient et j'attendais ce moment délicieux où tout mon corps, des pieds à la tête en passant par mon clito, serait foudroyé de plaisir.
    
    Je fermai les yeux un bref moment en me concentrant sur toutes les sensations que j'éprouvais, espérant que l'orgasme allait m'envoyer en orbite. J'essayai de me concentrer sur les deux queues, séparées seulement par une fine membrane, qui me bourraient inlassablement, me remplissant délicieusement et me laissant vide ensuite pour revenir avec une ...
    ... passion renouvelée.
    
    Quand j'ouvris les yeux, je regardai de nouveau le professeur d'EPS. Je fus surprise de voir que ses yeux regardaient fixement en arrière vers le bout de la table. Il y avait de l'appréhension sur son visage. Je fus perplexe et un instant, j'oubliai ma lutte pour atteindre l'orgasme.
    
    Je suivis le regard de PRUIT quand Glen tira sur mes cheveux pour que ma tête soit parallèle à la surface lisse de la table. Et en face de moi, je vis ce qui avait capturé l'intérêt de PRUIT. Mme SMOLEN se tenait sur la table devant nous trois. Je ne pourrai jamais oublier cette scène érotique aussi longtemps que je vivrai. Marianne était nue avec seulement ses hauts talons, ses bas noirs et son porte-jarretelle. Ses genoux étaient pliés et elle tenait ouvert ses petites lèvres gonflées de sa chatte rasée. Au début, je pensai qu'elle allait se branler pendant qu'elle regardait les deux hommes m'utiliser comme une poupée sexuelle.
    
    Brièvement mes yeux se portèrent sur son clitoris gonflé. Puis je l'entendis grogner alors qu'elle se baissait sur ses genoux et écartait vulgairement les lèvres de sa chatte. Avec un sourire vicieux elle me regarda et dit :
    
    - Prends petite pute! Prends ma pisse!
    
    Un jet d'urine chaud sortit de sa chatte distendue et éclaboussa mon visage avant de ruisseler sur Steve PRUIT en cascade. Tandis qu'elle continuait à pisser, elle ordonna :
    
    - Ouvre ta bouche de salope! Ta bouche de vide-couilles! Avale ma pisse sale pute!
    
    Inexplicablement ...
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