1. Hypnose Mécanique 08


    Datte: 19/02/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... c'est passé.
    
    - S'il vous plaît.
    
    - C'est un ordre, je veux les détails.
    
    Ma machine marche encore une fois parfaitement, Simone m'obéit, même si je vois que c'est dur pour elle de me raconter son viol.
    
    - J'étais serveuse dans un bar à strip-tease, j'avais pas encore cinquante-deux ans, c'était juste la semaine d'avant mon anniversaire. Mon mari est directeur d'une société. Il a une usine au Mexique, il y passe une semaine par mois. Le dimanche soir c'est moi qui ferme la boutique. Ce soir là, il y a eut un incident avec un groupe de trois membre de gang. Cela faisait une semaine qu'ils venaient. Ils arrêtaient pas de me draguer. Mais ce soir là, l'un d'eux ma mit la main aux fesses. Le service de sécurité les a mis dehors.
    
    - Si il y avaient un service de sécurité, comment t'ont ils eus?
    
    - Les vigiles partent à la fermeture. A l'époque je n'avais pas peur. Si j'avais bien la phobie du viol, elle ne me prenait pas sur le parking du bar, je m'y sentait en sécurité, c'est mon lieu de travail, il ne peut rien m'y arriver. Voilà ce que je pensais à l'époque. Cela faisait dix ans que je travaillais là-bas, jamais un incident.
    
    - Je comprends, tu faisais souvent l'amour?
    
    - Pas trop, je n'es jamais été portée sur le sexe. Je suis frigide, je n'ai jamais eus d'orgasmes avec une bite, sauf une fois, au début de ma relation avec mon ex-mari. Je couchais avec mon mari par amour, je voulais aussi des enfants. Après avec le temps, je l'ai autorisée à me prendre quand ...
    ... il avait envie, je ne ferais plus semblant, je n'irais plus vers lui. Nous deux on ne faisaient plus l'amour qu'une fois par semaine, et je le suçait une autre fois. Quand on m'a violée, je venais juste d'avoir mes règles, je n'avais pas coucher avec mon mari depuis deux semaines, mais je l'avais quand même sucer six fois. Pour compenser l'absence de pénétration vaginale, je le suçais quatre fois quand j'avais mes règles. C'était un deal entre nous, ça lui allé bien.
    
    - OK, continue sur ton agression.
    
    - Donc j'ai fermée le bar seule. Je suis allée à ma voiture. Il y avait un trafic garé juste à coté. Ça ne m'a pas chamboulée, il y a peu de place dans le quartier, souvent des gens laissent un véhicule dans le parking. Des fois il y en a plus. Donc je me suis dirigé vers ma voiture, la fourgonnette me la cachée. Quand j'ai fais le tour je suis tombé sur les trois voyous.
    
    - Tu ne t'es pas enfouie?
    
    - Je suis restée stupéfaite, paralysée. J'ai voulu commencé à courir, mais j'avais des talons aiguilles très haut, une robe courte. Je n'ai pus faire qu'un pas avant que l'un deux ne m'attrape par le bras et ne me tire entre le trafic et ma voiture. Le parking est entouré de haut mur, ce qui fait que personne ne peut rien voir. De toutes façon il est isolé, pas loin d'un quartier sensible, donc même si je hurlais personne n'aurais appelé les flics. De toutes façon je n'ai pas pus crier. Un des voyous avait un couteau dans la main, celui qui me tenait un pistolet et le dernier ...
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