Ma femme et " son guérisseur " (8)
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... avec moi !
— Mais, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas de notre faute ! C’est lui le coupable ! (en me désignant)
— Certes, certes, mais sans votre comportement aberrant, rien de tout cela ne serait jamais arrivé. Mais je veux bien faire un geste pour vous deux !
— Oui, oh merci !
— Je vous propose un chèque d’un million d’euros, mais vous quittez le pays, je ne veux plus jamais vous revoir dans la profession, ici ou ailleurs. Par contre il y a une condition ...
— Laquelle ?
— Vos femmes vont devoir payer pour vos erreurs !"
On entendit alors deux cris de rage, et je vis deux personnes se lever des bancs :
— Il n’en est pas question, qu’ils se démerdent ! Et que veux-tu de nous d’abord ?
C’était de toute évidence Barbara et Aline, femmes respectivement de Jean-Louis et de Didier.
" Ah je vois que mesdames ne sont pas d’accord ! Eh bien c’est très simple, refusez et vous vous retrouvez tout en bas de l’échelle sociale. Adieu tout votre confort, les vacances dispendieuses et les belles voitures. Croyez-moi, je ferai en sorte qu’il ne vous reste pas un radis. Je vais perdre beaucoup d’argent, mais vous, vous allez tout perdre ! Arrangez-vous avec vos maris !
Ah, j’oubliais, Cécile, lève-toi aussi, et venez toutes les trois au centre. Quant à vous deux, allez-vous rassoir et baissez votre capuchon. Apparaissez le visage découvert pour que chacun se régale de votre manque de vergogne !"
Ainsi fut fait ; Jean-Louis et Didier, tête ...
... découverte, allèrent se rassoir, guidés par les gardes, tandis que trois personnes se dirigèrent au centre, devant le boss et moi-même.
— Gardes, enlevez-leur leurs capes et masques !
Apparurent alors Barbara en robe de soirée blanche très longue, Aline en tailleur Chanel noir, et ma femme Cécile, en robe de cuir assez courte avec un très beau décolleté. Elles n’en menaient pas large.
— Votre choix est très simple ; vous nous donnez un petit spectacle très érotique, en obéissant au moindre de mes ordres, ou alors vous prenez la porte sans aucune prébende... alors que choisissez-vous ?
— Mais, mais, Fred, nous sommes ensemble, tu ne peux pas me virer comme ça ? (c’était Cécile au bord des larmes)
— Étions ensemble. Je ne sais pas si ton mari voudra te reprendre, mais tu as intérêt à obéir au moindre de mes caprices, si tu veux encore exister socialement !
— Bon OK, on va faire ce que tu veux, mais ne pousse pas le bouchon trop loin !
— Ah, au fait une petite projection des exploits de vos deux maris avec Cécile, devrait peut-être vous décider à plus de fantaisie. Lumières !
Et tout s’éteignit, alors qu’un écran de cinéma s’abaissait, sur lequel apparurent les images d’un film fort instructif. C’était les dernières soirées très hot au séminaire. Barbara et Aline purent ainsi découvrir leurs maris dans un rôle qu’elles ne leur connaissaient pas : libertins de belle facture !
Je vis alors des scènes que j’avais imaginées, voire pour certaines déjà vues : ma ...