1. L'apprenti curé et les copines de sa soeur (4)


    Datte: 17/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    — Thomas ! Depuis tout à l’heure je trépigne de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine, Tu as beau être mon frère que j’aime mais je ne peux pas passer à côté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite, je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !
    
    Il me sermonne tout en restant toujours aussi passif qu’avec les copines, ne cherchant pas à me repousser.
    
    — Même toi, ma sœur ! Tu n’as donc plus aucune morale ? Reprends-toi !
    
    Je lui rétorque :
    
    — Tu me dis ça mais pourtant tu rebandes pour moi, et pas qu’un peu !
    
    Son pénis pointe toujours au garde-à-vous, j’enjambe son corps et descends avec précaution ma fente au contact du soc massif, le coinçant dans mon intimité.
    
    Je me cambre, pose mes mains sur ses cuisses et me pénètre avec volupté de sa queue qu’une bonne âme a redressée, l’impression est très forte. Comme l’étrave d’un chasse-neige repoussant les congères devant lui, son gland trigonocéphale repousse mes muqueuses qui doivent s’adapter devant la poussée.
    
    Une fois la route ouverte, son rostre bute au fond de mon intimité comme dans une impasse. Je me défonce la moule avec son outil, écrasant ses couilles avec mes fesses, tapant tout au fond de ma grotte.
    
    Sa teub, très épaisse, dilate au maximum ma matrice. Huuummm, quel pied !
    
    Nos respirations s’accélèrent, mon cœur bat de plus en plus fort !
    
    J’accélère mon rythme, m’aboutant encore et encore sur cet axe d’acier jusqu’à ...
    ... atteindre l’orgasme. Une formidable explosion de plaisir me vrille le corps, je crie et lâche les grandes eaux en m’éjectant de sa teub.
    
    Reprenant doucement mes esprits, je trempe ma main dans ma chatte ruisselante de cyprine dû à l’abondance de mes sécrétions vaginales. Puis je porte mes doigts à ses lèvres afin de lui faire connaître les saveurs intimes et odorantes de sa sœur. Il a un instant d’hésitation avant de les lécher avec une gourmandise non feinte.
    
    Il m’attire violemment à lui et m’embrasse passionnément. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue avec la sienne.
    
    On dirait que ce baiser fougueux vient de le faire sortir de sa torpeur. Ses mains, pour la première fois de la soirée, quittent le lit, l’une me pétrit les fesses pendant que l’autre explore ma poitrine.
    
    Il me susurre à l’oreille :
    
    — Ça fait des années que je fantasmais en pensant à toi, ça me travaillait tant que c’est pour ça que je voulais entrer dans les Ordres. J’avais trop peur de ne pouvoir me contrôler et d’abuser de toi. Et là, c’est toi qui abuses de moi. Mais je ne peux plus me retenir.
    
    Ses aveux décuplent ma libido, je le repousse mais il ne se laisse plus faire. Il se retrouve au-dessus de moi et m’embroche comme un rôti.
    
    Il me secoue dans tous les sens par des coups de bite surpuissants, me faisant crier à chaque pénétration.
    
    — Oh oui c’est trop bon frérot ! Plus fort ! Encore ! Encore ! Je suis ta chienne !
    
    Les filles sont ébahies de voir une telle métamorphose chez ...
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