Un jeu pour mieux faire connaissance
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
grp,
couplus,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
exercice,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... menti en disant que tu n’as baisé personne, depuis qu’on est ici ?
— Bien sûr que non. C’est pour ça que j’ai eu l’idée de proposer ce jeu.
— C’est fini !
— Déjà, Max ? Bon, tant pis.
#######
— Audrey, à la disposition d’Anthony pour quatre minutes.
— Approche.
— …
— Je veux te déshabiller, complètement, et palper tes seins, tes fesses, tes cuisses…
— Eh bien, vas-y, puisque je suis à toi, mais pour quatre minutes seulement, je te le rappelle.
— …
— Ça te plait, que je mordille tes tétons ?
— Pas trop fort, quand même, je veux les conserver.
— Écarte tes cuisses, et aussi tes petites lèvres, je veux tout voir.
— …
— Caresse-toi, maintenant. Les seins, d’accord, mais la chatte aussi… Tu l’as fait, seule dans ta chambre, ici ?
— En pensant à toi.
— Tu dis ça en riant, je ne te crois pas. Tu mouilles ?
— Un peu.
— Je veux sucer ton doigt… J’aime bien le goût de ta chatte. Je veux la lécher.
— Tu aurais dû le faire plus tôt, les quatre minutes sont à peu près écoulées. J’étais à ta disposition. Tu n’as rien compris au jeu.
— Je l’envahirai cette nuit, ta chatte.
— Jeune présomptueux, qui t’a rendu si vain, toi qu’on n’a jamais vu la bite à la main ?
— Quel humour, Audrey !
— N’est-ce pas, mon petit Julien ?
#######
— Charlotte, Max est à toi pour ...
... trois minutes… Tiens, les rôles sont inversés, ça peut être amusant.
— Non, car je ne veux pas de lui. Il n’a pas cessé d’échanger des regards de connivence avec Audrey. Manifestement, ils se connaissent depuis belle lurette.
— On est ensemble, en effet.
— Et vous nous l’avez caché ! Tu le savais, Julien, quand tu leur as proposé de participer à ce jeu ?
— Non, pas du tout.
— Ils ont triché. Et Max a menti, il a dit qu’il n’avait pas baisé depuis notre arrivée ici.
— C’est peut-être vrai, après tout.
— Eh bien qu’ils le fassent, mais sans nous.
— Excellente idée ! Qu’ils couchent enfin ensemble, puisqu’ils prétendent qu’ils ne l’ont pas fait.
— Oh non, c’est trop atroce ! On aimerait tant changer…
— N’insistez pas, partez.
— La porte de notre chambre ne sera pas fermée à clé. Si le cœur vous en dit…
— Je crois que nous serons assez occupés et que nous ne penserons pas du tout à vous.
— Eh bien, à demain, alors.
— C’est ça.
— …
— Nous ne sommes plus que quatre et nous n’allons pas dormir seuls, n’est-ce pas ?
— Tu as raison, Julien.
— Choisissez, les filles, nous sommes à votre disposition.
— Je prends celui qui tire la plus forte carte, je te laisse l’autre. Et on change à minuit. Ça te va, Anaïs ?
— Ça me va… Mais demain, on joue avec d’autres !
— Bien sûr !