Marie ma nouvelle voisine - 25 – Lundi après-midi.
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Cello, Source: Hds
... Probablement des trois, mais très vite le plaisir a été le plus fort et elle jouit, comme une chienne, inondant le drap recouvrant la table.
Marie s'écroule sur la table, mais Sabine vient se placer devant elle, cuisses ouvertes et lui demande de la faire jouir à son tour. Elle s’assoit sur la table, devant son visage et la prenant par les cheveux, elle plaque son visage contre sa vulve trempée et dit :
S. : « Lèche moi salope, lèche moi la chatte, suce mon clito et bouffe moi le cul, je ne te lâcherais pas avant que j'ai jouis et maculé ton joli visage de cyprine ».
M. : « Oh oui ! Je vais dévorer ta petite chatte de gouine et t'enculer avec mes tétons et mes doigts, jusqu'à ce que tu demandes grâce ».
Marie commence par lui lécher sa chatte, aspirant ses lèvres pour les allonger, puis elle remonte sur son clitoris, glissant deux puis trois doigt dans son antre. Elle masturbe sa chatte de ma main droite, et la gauche saisit son sein droite, le caresse, le palpe de plus en plus durement, pince son téton et tire dessus. Sabine gémit de plus en plus et se tortille sous les caresses de Marie. Elle lâche son sein et la fait se retourner, pour qu'elle lui présente son cul, cul que Marie lèche et qu'elle pénètre de mon majeur sans résistance, tellement celui-ci est lubrifié de mouille et de salive. Il ne faut pas très longtemps à Marie pour la faire jouir et elles s'écroulent dans les bras l'une de l'autre, et s'embrassent. Elles restent ainsi, pendant de longues ...
... minutes.
Marie descend de la table, et remet ma robe, et alors qu'elle s'apprête à prendre mon string, l'esthéticienne lui dit :
S. : « Laisse le ici, tu n'en as pas besoin, tu te sentiras encore plus vulnérable sans rien sous ta robe et totalement lisse ».
M. : « Convaincue et obéissante, elle lui tend son petit sous-vêtements, l’embrasse à pleine bouche et quitte l'institut. Elle rentre à pied, encore excitée, et ce n'est pas le léger vent qu'elle sent sous sa robe et entre ses cuisses qui calme ses sens et son envie de sexe.
En arrivant chez Cello, Marie est trempée de sueur, car faire plus de deux kilomètres à pied par cette chaleur lui a donné chaud, et le fait de traverser une partie de la ville à pied, en jupe courte sans aucun dessous et seule, l'a également excitée et elle sens que son sexe à couler le long de ses cuisses. Elle m’apprête à retirer sa robe et à montrer sa chatte et son sillon fessier à Cello, quand celui-ci dit :
Cello : « Non pas maintenant. Tu me montreras plus tard.Va prendre une douche pour te rafraîchir et ensuite nous irons manger une grillade en ville.
Marie revient douchée et maquillée, avec la même petite robe courte et légère qu'elle avait pour se rendre chez l'esthéticienne. En ce rendant jusqu'à la voiture, qui est garée devant la maison, un coup de vent soulève la robe de Marie, et dans un réflexe, Marie rabaisse sa robe de la main. Cello le lui reproche aussitôt, en lui disant qu'elle doit laisser faire le vent et permettre ...