1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1026)


    Datte: 16/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... heureuses de pouvoir se restaurer et se reposer au lieu d’être sollicitées, comme habituellement. Elles ne savaient pas exactement qui j’étais, mais elles étaient heureuses que je sois là, leur accordant ainsi une soirée de repos.
    
    Pendant qu’elles se sustentaient et que, pour la plupart, elles s’endormaient, j’étais toujours allongée, immobile sur le plancher de la scène. Une fois tous les Dominants revenus dans la salle (en plus d’être une soirée spéciale BDSM, c’était également une soirée entre Dominants et soumises et donc il n’y avait aucune Maîtresse présente, ni aucun chien mâle), Maître Fernando, l’homme dont jusque-là je ne connais pas le nom, mais que je venais d’entendre se faire appeler par l’un des clients Dominants, m’annonça qu’en tant que chienne MDE marquée, j’étais à leur disposition pour répondre absolument à toutes les exigences qu’ils pourraient avoir. Tous montèrent alors sur scène, visiblement impressionnés et excités qu’une soumise du fameux Marquis d’Evans soit présente ici... Ils me firent mettre debout, et comme Maître Fernando lorsque j’étais arrivée, ils m’examinèrent sous toutes les coutures, l’un d’entre eux se mettant même à genoux pour avoir sa tête au niveau de mon entre jambes, et y donna un coup de langue, faisant mine de réfléchir, comme s’il avait dégusté un grand cru. Deux hommes apportèrent une table basse, et j’y fus attachée par les poignets et les chevilles, sur le dos. L’un d’eux ramassa deux plumes, restées là après la première ...
    ... partie du spectacle et me les passa sur tout le corps, insistant sur mes aisselles, mes flancs et la plante de mes pieds. Je supportais difficilement les chatouilles, et il me fallut des trésors de concentration, d’autant plus avec la fatigue d’une spectacle que je n’étais pas habituée à donner, pour ne pas me tortiller dans tous les sens et supplier qu’il arrête cette torture.
    
    Un autre s’approcha de moi, et me demanda d’expliquer les raisons de ma peau, qui, si elle avait un peu perdue de sa couleur rouge très appuyée, était tout de même restée plus foncée qu’habituellement et que par rapport à mon visage, et portait des marques des différents instruments qui lui étaient passés dessus. Je racontais donc ce qu’il m’était arrivé, sans me plaindre aucunement, en relatant seulement les faits. Là-dessus Maître Ferdinando rajouta que, comme j’allais porter un costume blanc sur scène, il avait été trouvé de bon ton de me faire rougir la peau afin d’accentuer le contraste des deux l’un sur l’autre. Celui qui avait posé la question estima alors que ma peau avait dû perdre trop de sa couleur et réclama de nouveaux instruments. Il se saisit d’un martinet qu’il mania avec force, sans toutefois réussir à me provoquer le moindre cri. Il y mettait pourtant du cœur et il ne s’arrêta que lorsqu’il se fut fatigué. Si la fatigue se faisait ressentir dans son bras, il n’en était pas moins excité, et il sortit alors son sexe dur et tendu et me l’enfila sans ménagement ni préambules dans ma ...