1. Les chroniques de Nature Et découvert : Bretagne: baise, aide; hasch 3


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Nature et découvert, Source: Hds

    ... suis, pour les petits bourges fringués en Benetton et pompes a glands, un «corbeau- balai à chiottes » comme les autres. Mon t-shirt de Joy Division complète mon jean en faux-cuir noir sous lequel je ne porte rien. A 23 ans, j'ai en toute modestie une plastique qui mérite d’être mise en valeur par des vêtements prés du corps. Des chaussures noires à boucles métalliques? pointues, complètent mon look de vampire en villégiature.
    
    Pussy est paradoxalement dans une moindre recherche de sophistication qu’elle ne l’est au quotidien. Elle se laisse tentée par des Dim Up résilles noirs, qui remontent à 5 bons centimètres de la limite de sa jupe noire en skaï et permettent donc de se régaler d’une partie de ses cuisses fermes et dorées. Sous la jupe, elle renonce à mettre quoi que ce soit, même si son tanga rouge fendu aurait été plus prudent tout en restant pratique. Mais non ! Rien ! En haut, elle opte pour son caraco en dentelle noire qui ne cache strictement rien de ses seins aux larges pointes brunes, toujours dressées. Ses escarpins aux talons vertigineux complètent sa tenue de femme fatale. Déjà assez grande pour une femme, elle se projette en quelque sorte vers le ciel et il n'y a guère besoin d'être au ras du sol pour entrevoir son intimité. Maquillée comme Siouxsie, une chaînette autour de la cheville et une demi-douzaine de bagues aux doigts, elle est prête !
    
    Le voyage vers le Mélo constitue un sympathique apéritif pour les quatre cavaliers de Pussy. A l’arrière de la ...
    ... voiture, coincée entre Ludo et Clément, elle ne peut pas croiser les jambes et c’est une bénédiction pour Yacine qui conduit et utilise beaucoup son rétro intérieur comme pour moi, qui suis souvent retourné et me réjouis par anticipation en l’imaginant assise dans la discothèque. Lorsque nous arrivons sur le parking de la discothèque, chacun fait un effort pour dissimuler l’effet que la situation produit sur son sexe. La consommation durant le voyage de deux bons splifs d’afghan noir ne facilite pas les choses. C’est donc en tirant sur le bas de sa jupe que Pussy nous précède dans la boîte après que le videur ait constaté qu’elle ne dissimulait vraiment, mais alors vraiment rien sous ses quelques rares protections textiles. Et c’est en réajustant nos queues au garde à vous dans nos pantalons que nous la suivons.
    
    Nous arrivons sur « Love like blood » de Killing Joke, un classique qui passait depuis 3 ans, quand je venais pendant mon Service National à Brest. Il est impossible dans cette discothèque rock de trouver beaucoup de ces traditionnelles tables basses entourées de sofas profonds. Dommage : on ne verra pas Pussy avec les genoux plus hauts que le bassin, ce qui serait quasi-pornographique. Mais finalement, la voir grimper sur un tabouret près de l’un des bars de la discothèque comporte certains avantages car ainsi, c’est à peu près le tiers des personnes présentes qui peuvent profiter d’une vue directe sur sa chatte. Le contraste des Dim Up et de la jupe noire avec sa ...
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