1. Je me fais défoncer par mon oncle (17)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    ... fait de même de son côté, elle m’encule de sa langue et claque mes fesses.
    
    Maman se cambre, elle va jouir. Elle grogne comme une truie.
    
    Je sens alors un jet de mouille bien chaud couler dans mon cou. Je sors alors ma langue de son cul, et très rapidement, j’enfonce 2 doigts dans son trou à merde et l’encule de plus en plus fort. Je descends ma bouche à la hauteur de sa chatte pour recueillir ce merveilleux nectar. Au même moment, je me cambre à mon tour et en poussant un grognement j’envoie un quelques bons jets de mouille sous le menton de maman qui remonte aussitôt sa bouche pour s’abreuver de mon jus.
    
    — Oh que c’est bon maman !! Oh putain ! Bois ma mouille, avale tout.
    
    — Mmmmhmmm...
    
    La jouissance me fait perdre la tête et je dis tout ce que qui me passe à l’esprit. J’adore être vulgaire quand je jouis !
    
    — Putain de merde maman ! t’es une sale cochonne ! Une salope ! Une chienne !
    
    — Mmmmhmmmm...
    
    Nom de Dieu, ce que j’ai joui ! Je deviens toute molle. Je sens aussi maman qui, après avoir jouit très fort, se ramollir à son tour.
    
    Elle s’enlève d’au-dessus de moi, se retourne, place sa tête entre mes cuisses encore écartées et elle lèche à partir de mon trou de balle en passant sur ma chatte, mon clitoris, mon ventre en s’attardant sur le nombril, continue de monter en léchant ma peau moite et en arrivant à ma poitrine, elle empoigne mes nichons humectés de sa mouille et les lèche avidement.
    
    Elle continue de lécher sa mouille dans mon cou, ...
    ... sous mon menton et se rend à ma bouche entrouverte où elle enfonce sa langue bien chaude. Nous nous embrassons comme deux collégiennes en frottant l’un sur l’autre, nos corps couverts de sueur.
    
    Après un long soupir de satisfaction, nous restons étendues par terre, dans les bras l’une de l’autre, tentant de reprendre notre souffle.
    
    — Toi aussi, t’es une salope Sandrine. Tout comme ta mère, une putain de cochonne !
    
    — Maintenant maman, si tu n’y vois pas d’inconvénients, j’aimerais que tu répondes à quelques questions !
    
    — Oui ma fille, qu’est-ce que tu veux savoir ?
    
    — Devine !!
    
    Devant mon ton ironique et mon visage expressif, maman éclate de rire, de même que tonton Jacques, et M. le curé... qui est mon papa. Je n’y crois pas encore !
    
    Maintenant que je ne suis pas en train de jouir, mon esprit est plus clair et tout se bouscule dans ma tête. Moi qui avais commencé à me faire défoncer par mon oncle il y a quelques mois, je me retrouve soudain avec ma langue dans le cul de ma mère pendant qu’elle m’encule avec la sienne et j’apprends que le curé, qui est mon père, m’encule ! C’est quand-même beaucoup pour une seule journée !
    
    — Eh bien maman !
    
    — Bon très bien. Je débute par quoi ?
    
    — Premièrement, tu pourrais m’éclairer sur le fait que le curé est mon père ! C’est une adoption, n’est-ce pas ? Quand papa est mort, il m’a adoptée, c’est bien ça ?
    
    — Bon, si tu veux bien, on va s’asseoir tous les quatre bien gentiment et je vais commencer par le ...