1. Un fil rouge pour Joëlle [Partie B] (2)


    Datte: 13/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Badwell, Source: Xstory

    ... retournent à la source pour assouplir et préparer la petite porte, puis sa bouche apporte la salive abondamment.
    
    – C’est bon, gémit Joëlle
    
    Paul lèche encore largement l’entrejambe qui promet sa très grande hospitalité et s’empare de sa proie, la dépose devant le lit conjugal, les épaules, les seins, le ventre sont posés sur la couette, ses genoux écartés largement sur le tapis d’Iran, le fessier est offert, les orifices en offrande. Paul salive encore sur la rosette, puis présente sa verge et lentement mais inexorablement pénètre le cul tendu et disparait ; il impose alors à l’anus de Joëlle un mouvement tournant de l’intérieur qui stimule la sécrétion du mucus. Alors que l’étui anal est bien lubrifié, Paul se met en cadence.
    
    Joëlle, terriblement émoustillée, abandonnée, ouverte, offerte, redoute pourtant la persévérance de Paul. Elle souhaite sa jouissance tout au fond d’elle, son offrande, son désir en témoignent, mais sa mouille résistera-t-elle à la persistance de son nœud qui semble de bois ?
    
    Paul teste le cul de Joëlle, ne veut pas lui faire mal ni abîmer cet anus qui lui est confié par Franck. Il entreprend de la besogner calmement et amplifie progressivement son branle. Il sent Joëlle serrer ses chairs contre son sexe et accélère légèrement son mouvement alternatif, sa hampe coulissant onctueusement dans l’étui féminin. Il prend ce rythme qui lui convient pour l’amener au summum le tempo de la chanson de Dutronc « La fille du Père Noël ». Il s’engouffre ...
    ... ensuite dans la chatte de Joëlle, pour retourner au plus petit et la laboure en mesure. L’alternance cul-con et vice-versa lui procure de délicates variations sur le gland qui intensifient ses sensations et attisent sa libido.
    
    Joëlle, n’est plus impatiente ni tourmentée, la partition que lui joue Paul lui est symphonique… la succession des mouvements, l’alternance des instruments sollicités, la tonicité du chef d’orchestre, la plongent dans un extase sensoriel. Elle est auditrice mais instrumentiste, soumise au chef mais actrice de son interprétation. Cette harmonie résonne en elle, vibre au creux de ses reins, et elle exécute soudain avec talent le livret vocal de l’œuvre, stridule la jouissance qu’elle ressent, vocalise l’orgasme qui la submerge.
    
    – Jouis, ma salope, prends ton pied, ça m’excite, je vais venir en toi… ici ou là ? Ah !!!… j’éjacule et t’encule… tu es bonne, Joëlle, une sacrée chienne, femme lubrique, putain fidèle ! hurle Paul
    
    Il soulève Joëlle et la jette sur le lit conjugal en s’affalant sur elle, encore fiché dans sa croupe.
    
    Ils se reposent quelques temps de cette folle cavalcade, puis profitent de la salle de bains ouverte sur la chambre, se douchent ensemble échangeant des caresses complices.
    
    20 heures, ils se rhabillent et descendent se glaner ce qu’il y a au frigo. Ah ! Franck a pensé au champagne ! Paul sert deux flutes.
    
    – Paul, peux-tu allumer un feu ? Je prépare un en-cas froid.
    
    Ils grignotent au coin du feu, Paul ne cesse de ...