1. COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Piégée (2/2)


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... films.
    
    Martinet, cravache, fouet et surtout ce qui me faisait grincer des dents quand une femme le subissait.
    
    Un chat à neuf ou plus de queue avec des boules de bois aux extrémités.
    
    - Pour la première fois, cette badine anglaise fera l’affaire.
    
    Lèche là, sent comme elle est fine, j’ai été spécialement l’acheté là où dans les collèges anglais les responsables de la disciplines vont se fournirent.
    
    C’est chez Bid à Londres, célèbre maison des adeptes de la soumission où je l’ai acheté.
    
    - Aïe.
    
    - Je t’ai à peine caressé.
    
    - Aïe, Aïe, Aïe.
    
    J’explique mais j’ai envie d’hurler, la baguette s’abat trois quatre fois sur mon postérieur.
    
    Pépère se recule et commence à me flageller d’une façon intense.
    
    Au début j’ai mal mais c’est vite remplacé par un échauffement du bas de mon ventre.
    
    Sa main fatigue.
    
    Il m’écarte les jambes un peux plus, je sens qu’il cherche et son sexe me déflore.
    
    Fini ma virginité, ce n’est pas mon Apollon mais bien mon vieux barbeau qui me pénètre.
    
    Il me prend par les hanches et fini par me faire jouir.
    
    Il décharge.
    
    - Voilà petite pute, tu es à moi.
    
    C’est pendu par les poignets mes jambes refusant de me soutenir que je ...
    ... perds la notion d’où je suis.
    
    Voilà comment c’est passé ma première expérience à la soumission.
    
    Le lundi suivant, Édith m’attache.
    
    Depuis le moment où pépère me maltraite comme il me l’a dit, j’aime jusqu’au chat à neuf queue.
    
    À son tour, c’est moi qui la domine avant que nous roulions sur la moquette épaisse pour nous brouter les clitoris.
    
    Un matin pépère ne se réveille pas.
    
    Il a avalé son bulletin de naissance.
    
    J’apprend lors de l’enterrement que ma maîtresse restera ma soumise car son mari ne l’a jamais baisé.
    
    Je vis dans le pavillon et Édith est avec moi.
    
    « Jeunes femmes cherche jeune personne pour s’occuper de notre pavillons, loger, nourri. »
    
    Pépère en décédant a légué tous son argent hérité de son père lui ayant lui-même légué lui permettant de vivre sans travailler à son fils soumis à sa femme.
    
    Dans quelques jours, nous allons laisser traîner deux billets de 500 €.
    
    Nul doute que nous allons prendre dans nos filet une petite dinde que nous aurons plaisir à fouetter attacher à la croix.
    
    J’ai oublié la dernière ligne de l’article.
    
    « Jeune homme accepté. »
    
    J’ai réussi à ce qu’Édith ne rédige pas.
    
    « Jeune homme avec gros sexe accepté. » 
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