1. Soirée pyjama. 4


    Datte: 12/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Soirée pyjama.4
    
    Mes parents étant absents pour le weekend, j’ai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.
    
    On se fera une soirée pyjama.
    
    Suite.
    
    - Depuis tout à l'heure je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine, Tu a beau être mon frère, (même si ce n’est pas réellement vrai car comme beaucoup d’enfants, nous vivons dans une famille recomposée), que j'aime mais je ne peux pas passer à coté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite, je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !
    
    -Mais je suis ton FRERE ! (Enfin presque). Tu n’as donc plus aucune morale ? Reprends-toi ! Me sermonne-t-il, tout en restant toujours aussi passif qu’avec les copines, il ne cherche pas à me repousser.
    
    -Tu me dis ça mais pourtant tu rebandes pour moi, je lui rétorque, et pas qu’un peu !
    
    Son sexe pointant toujours au garde-à-vous, j’enjambe son corps et descends avec précaution ma fente au contact du soc massif, le coinçant dans mon intimité.
    
    Je me cambre, pose mes mains sur ses cuisses et me pénètre avec volupté sur sa queue, l’impression est très forte. Comme l’étrave d’un chasse-neige repoussant les congères devant lui, son gland trigonocéphale repousse mes chairs qui doivent s’adapter devant sa poussée.
    
    Une fois la route ouverte, son rostre bute au fond comme dans une impasse. Je me défonce la chatte avec son outil, j’écrase ses couilles avec mes fesses, tapant tout ...
    ... au fond.
    
    Sa bite très épaisse dilate au maximum ma matrice. Huuummm, quel pied !
    
    Nos respirations s’accélèrent, mon cœur bat de plus en plus fort !
    
    J’accélère mon rythme, m’aboutant encore et encore sur cet axe d’acier jusqu'à atteindre l’orgasme. Une formidable explosion de plaisir me vrille le corps, je crie et lâche les grandes eaux en m’éjectant de sa teub.
    
    Reprenant doucement mes esprits, je trempe ma main dans ma chatte ruisselante de cyprine dû à l'abondance de mes sécrétions vaginales. Puis je porte mes doigts à ses lèvres afin de lui faire connaître les saveurs intimes et odorantes de sa « sœur ». Il a un instant d’hésitation avant de les lécher avec une gourmandise non feinte.
    
    Il m’attire violemment à lui et m'embrasse passionnément. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue avec la sienne.
    
    On dirait que ce baiser fougueux vient de le faire sortir de sa torpeur. Ses mains, pour la première fois de la soirée, quittent le lit, l’une me pétrit les fesses pendant que l’autre explore ma poitrine.
    
    Il me susurre à l’oreille :
    
    -Ça fait des années que je fantasmais en pensant à toi, ça me travaillait tant que c’est pour ça que je voulais entrer dans les Ordres. J’avais trop peur ne pouvoir me contrôler et d’abuser de toi. Et là, c’est toi qui abuse de moi. Mais je ne peux plus me retenir.
    
    Ses aveux décuplent ma libido, je le repousse mais il ne se laisse plus faire. Il se retrouve au dessus de moi et m’embroche comme un rôti.
    
    Il me secoue ...
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