1. Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 2 : Dans le vif du sujet


    Datte: 11/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    ... lents puis rapides puis de nouveau lents et encore rapides, me propulsaient dans un état de jouissance que je n’avais jamais connu, ni avec mon premier mari ni avec le second ni même avec le jeune amant que j’avais pris après mon divorce.
    
    Sous moi, il devait y avoir une belle flaque de mouille, je sentais mes fesses tremper dedans. Une odeur de sexe bestial avait envahi ma chambre et des bruits de « cramouille bien remplie », comme il disait, se faisaient entendre. J’aurais dû avoir honte de ces bruits et de ces odeurs, mais ce que je ressentais, c’était la plénitude d’une femelle comblée par son mâle. J’étais heureuse qu’il soit mon Maître, je sentais que c’était lui que j’avais attendu si longtemps.
    
    Alors que je me cambrais contre lui, pour profiter au maximum d’un énième orgasme, il a commencé à éjaculer.
    
    J’ai eu une sensation incroyable ; en fermant les yeux pour profiter au maximum de mes impressions, je me suis imaginé que chacun de ses spermatozoïdes venait caresser mes ovaires, tellement il était loin dans moi. J’étais dans un état de jouissance incroyable que je n’avais ...
    ... jamais connu. Je sentais à chaque nouveau jet de son sperme chaud en moi que je montais encore plus dans le bonheur.
    
    En même temps, la partie rationnelle en moi s’étonnait : comment un homme de son âge pouvait-il fournir autant de sperme à l’intérieur de ma chatte affamée de lui ?
    
    Lorsque je suis revenue à moi, je me suis rendu compte que mes ongles étaient plantés dans ses épaules, que mes jambes serraient ses hanches pour le retenir le plus possible en moi, que mes seins étaient écrasés par son torse puissant, que les pointes de mes seins étaient deux petits bouts raides qui disparaissaient dans les poils de sa poitrine, que mes reins cambrés au maximum nous soulevaient tous les deux.
    
    En me reposant sur le lit, dans une flaque de mouille maintenant un peu refroidie, j’ai été envahie par un sentiment de plénitude que je n’avais jamais ressenti. Avant de m’endormir, pleine de lui, j’ai senti qu’un peu de son sperme quittait mon ventre et je l’ai entendu qui grommelait :
    
    — Ben ma salope, ça promet !
    
    À peine avait-il prononcé ces paroles que je me suis endormie.
    
    (à suivre) 
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