1. L'empreinte des fesses


    Datte: 11/02/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, toilettes, collection, intermast, Oral préservati, pénétratio, journal, Auteur: Daminou, Source: Revebebe

    ... pas une toison affolante. Parfait. Mes lèvres se refermèrent sur ce clitoris hors norme pour le suçoter avec avidité.
    
    — Oooh, nan… Pas ici… Je veux dire, on va nous… Surprendre, me dit-elle avec difficulté.
    
    Je me redressai alors, après lui avoir prodigué une rapide léchouille sur la fente qui manqua de peu de la faire crier, et l’entraînai hors de la cuisine. Un seul endroit que l’on peut barricader, tout en prétextant faire autre chose : les toilettes. À peine entrée, J. retira sa chemise de nuit, me dévoilant une lourde poitrine, désirable. Elle se pressa alors contre moi et me retira mon pantalon, suivi de mon boxer.
    
    Elle resta alors accroupie pour regarder à loisir mon pénis pris d’une incroyable érection. La plus forte que j’ai jamais eue, je pense. Elle se releva, ferma le capot des WC, s’y assit et écarta au maximum les jambes.
    
    Enfin ! Ce que je préfère !
    
    Mes mains se déposèrent sur les cuisses de ma partenaire, tandis que mon visage s’approchait de son entrejambe. Idem que peu de temps auparavant, ma bouche s’empara de ce clitoris que j’ai appris à tant désirer. Je l’embrassai tendrement, mais en appuyant dessus fermement. Ma langue délaissa alors cette protubérance pour contourner les grandes lèvres de sa chatte. Elle resserra ses petits ronds à chaque tour, si bien qu’elle arriva entre ces deux minuscules collines.
    
    Ma langue se raidit alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient, pénétrant un peu plus à chaque fois. Une fois le maximum ...
    ... atteint, j’embrassai son vagin comme j’aurais embrassé J… Elle laissa échapper plusieurs petits cris successifs. Peu importe si nous avions été découverts, nous étions tellement excités ! Elle posa alors ses mains sur ma tête, pour l’attirer le plus possible contre son sexe ruisselant. Au bout d’un moment, elle me repousse tendrement, se leva, et m’invita à faire de même. Elle prit alors une capote, déchira l’emballage, et la tint d’un air coquin mais embarrassé.
    
    — Je peux te la mettre ? J’adore ça…
    — Si tu veux…
    
    Ses doigts caressèrent alors mes testicules, puis ma verge turgescente, me décalottèrent, caressèrent mon gland avec la paume de sa main comme sur le matelas, puis me l’enfilèrent. Nous échangeâmes alors de place, je m’assis sur le capot des toilettes, et elle s’installa sur moi, sans lâcher ma queue. Elle guida alors mon sexe contre sa chatte, le fit pénétrer légèrement, plusieurs fois de suite, avant de venir littéralement s’empaler dessus.
    
    Commença alors une longue chevauchée, au cours de laquelle nous nous embrassions, nous poussions de longs râles de plaisir tant attendu.
    
    Un détail dont je me souviens, et que j’affectionne particulièrement encore aujourd’hui, c’est le bruit que produisait notre union. « Clap, clap ». Le bruit de mon sexe et de mon bas-ventre percutant son sexe ruisselant de mouille. « Clap, clap ». Et l’odeur de sa cyprine, je m’en souviens encore. Miam.
    
    Après je ne saurais dire combien de temps, elle atteignit un orgasme prodigieux, ...